1. Mon Beau-fils


    Datte: 29/03/2018, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... peut-être plus tranquille maintenant… Je ralentis tant il devient difficile de conduire et de fixer mon attention. Surtout que passé Clergoux et les étangs, la route devient très sinueuse et traverse une zone forestière épaisse où l’air, déjà pesant ne circule pas… Et voilà qu’en face monte un orage qui s’avère comme toujours dans la région, violent et impressionnant. Déjà les premiers éclairs zèbrent les portions de ciel entre les arbres. Les premiers grondements du tonnerre nous arrivent dessus… Raphaël sort de sa torpeur : - "Eh bien voilà un orage maintenant ! Surtout que les orages ici, c’est autre chose qu’en ville ! On a l’impression d’être dans l’apocalypse ! " - "Oui, tu as raison, c’est très impressionnant dans ces forêts de sapins et de hêtres ! D’autant que cela peut avoir un côté dangereux… ". Je n’avais pas fini ma phrase qu’une énorme boule de feu traverse la route à 50 mètres devant nous entraînant avec elle toute la cime d’un arbre qui s’effondre sur la route. Je freine à mort. A ma droite un petit chemin forestier, j’y engage la voiture. Mais je réalise que nous sommes toujours entourés d’arbres et dans la voiture et que c’est très dangereux. La peur m’étreint. Non d’être touchés par la foudre, mais que nous risquons d’être frappés par la chute d’arbres ou de grosses branches… - "Là, à droite ! crie Raphaël en s’éjectant de la voiture. Là, viens, me crie-t-il, il y a un petit hangar dans la clairière à droite ! " Il pleut à verse. En effet à travers la ...
    ... pluie qui tombe en trombes, je distingue à 30 mètres dans un petit dégagement d’arbres, une grange. Un abri providentiel… Le temps de courir à la suite de Raphaël qui détale devant moi et j’arrive trempée de la tête aux pieds dans la soupente de l’entrée de la grange. L’orage redouble. Il fait presque nuit. Les phares de la voiture restés allumés, transpercent les rideaux de pluie. Nous nous regardons : nous sommes trempés tous les deux… - "Ouf, dis-je. Nous sommes trempés, mais à l’abri ! Il était temps !! " - "Si l’on peut dire !!, relance Raphaël en riant. " Je vois qu’il est lui aussi trempé. Trente mètres sous un déluge d’eau et son T-shirt bleu pâle, moule de façon parfaite son joli torse viril. Son pantalon beige laisse voir à travers, son slip bleu-marine que je connais bien pour le laver régulièrement. La forme de son sexe long et dressé est bien visible ; un peu courbé vers la droite. C’est sûr qu’il a au moins un début d’érection. Je détourne le regard, gênée parce que trop excitée... Je me regarde, ma robe colle à ma peau, comme si j’étais allée avec elle sous la douche ! Mon soutien-gorge, déjà très transparent, est maintenant complètement estompé et l’on doit voir mes seins comme si j’étais nue… Mes cheveux mi- longs continuent de dégouliner et de goutter sur mes épaules entretenant l’humidité de la robe légère qui colle à mes formes. Je me penche et je m’aperçois que l’on devine bien mon pubis nu sous ma robe. Evidemment n’ayant plus de culotte, le tissu adhère à ...
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