La Patronne
Datte: 14/07/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
fépilée,
campagne,
Oral
pénétratio,
init,
... faisant des va-et-vient langoureux sur mon mandrin, tantôt resserrant la base de mon gland, tantôt empoignant fermement mes bourses. Je sentais monter en moi la fièvre du rut, totalement dominé par l’excitation. La patronne savait y faire, d’une main experte, elle contrôlait la situation et pouvait faire de moi ce qu’elle voulait. Lorsque je fus envahi de convulsions éjaculatoires, prêt à exploser ma semence, elle serra si fortement mon membre que seulement un filet de sperme s’échappa. — Je ne peux pas te laisser comme ça mon petit verrat, t’as besoin de libérer tes ardeurs. Elle lâcha mon membre et recula de quelques pas, comme pour mieux s’offrir en spectacle. Tout en me dévisageant impudiquement, elle se mit à dégrafer son jean qu’elle descendit jusqu’à terre. Stupéfaction, elle ne portait pas de petite culotte, laissant une chatte totalement dénudée apparaître à mon plus grand plaisir. Toute rosacée, avec de belles grandes lèvres charnues. — Montre-moi comme tu sais y faire avec une truie comme moi… Je m’approchai d’elle, hésitant, mon inexpérience à offrir. Rendu à sa hauteur, elle me fit mettre à genou dans une position de totale soumission. Je pouvais de cet endroit, renifler de plus près l’odeur de son excitation. Cela sentait la chatte en chaleur à plein nez, la mouille humide et salée, les arômes de la copulation. Elle dégageait l’invitation, le besoin d’accomplir l’acte, l’attraction du désir. Ses phéromones relâchées, enrobaient l’atmosphère de son pouvoir ...
... séducteur et m’envoûtaient. — Prépare-moi, fais de moi ta cochonne, lèche-moi à fond de train la chatte… Je m’appliquai alors à satisfaire les désirs enflammés de la patronne. J’embrassai nerveusement, du bout des lèvres, la fleur de son plaisir. Je goûtais pour la première fois les jus épicés d’une femelle en chaleur. Quel délice suave à ma gourmandise, de m’abreuver ainsi à cette fontaine de nectar jouissif. Je prenais un malin plaisir à déguster la moiteur de sa mouille. — Vas-y, tu fais ça bien, mange-moi mon petit verrat, fais-moi jouir comme une truie ! La patronne semblait apprécier mes attentions en elle, car elle se trémoussait, telle une déchaînée, sur ma langue qui s’appliquait frénétiquement à découvrir chacun des recoins de son âtre de plaisir. Elle exerçait une pression sur ma tête pour en tirer le maximum de satisfaction, tout en se laissant aller dans l’allégresse de son excitation. — Oui, ooouuui, tu me fais jouir, n’arrête pas, plus vite, oui, oouuui, j’y suis, plus fort… Elle était envahie de spasmes orgasmiques violents et elle dégoulinait abondamment son plaisir. Je récoltais goulûment les fruits de mon labeur. Sa mouille avait une saveur exquise, et je me régalai de sa jouissance. J’embrassai la suavité de sa féminité. Satisfaite, elle se dégagea de mon emprise. — Maintenant mon cochon, tu vas me défoncer avec ton gros bat… Elle se retourna et s’appuya sur la clôture de la stalle, offrant sa croupe en guise de cadeau à ma fougue. Elle avait un cul d’enfer, des ...