1. La Patronne


    Datte: 14/07/2017, Catégories: fh, fplusag, fépilée, campagne, Oral pénétratio, init,

    ... cochonne… tu vas y goûter. La patronne semblait de plus en plus excitée à la vue de ce spectacle bestial. Je remarquai furtivement que la pointe de ses seins gonflés à bloc s’étaient durcies et semblaient vouloir percer son corsage. Intérieurement, je me dis qu’elle aimait ça, la cochonne de patronne. Sans crier gare, le gros verrat enfourcha la truie, son membre énorme en érection tel une tête chercheuse. Je croyais bien qu’il allait l’écraser sous son poids de mastodonte, mais non, la petite truie tenait bon. Il finit par trouver l’âtre en feu de sa concubine et à y enfoncer son pieu profondément. La truie lâcha un cri de douleur et à la fois de satisfaction. — Vas-y, remplis-la, la cochonne, défonce-la, cette truie, elle aime ça, se faire fourrer par un gros cochon… Tout en vociférant des vulgarités salaces, la patronne se balançait le croupion en croisant les jambes bien serrées dans son jean. Cela devait avoir un certain effet car, de temps à autre, elle se léchait sensuellement les lèvres, comme pour savourer un délice défendu. Le gros verrat avait accentué la cadence des coups de boutoir, il grognait son excitation, il était sur le point d’exploser sa semence. La petite truie était comme en état de transe, essuyant les coups violents du mâle en elle, tout en gémissant sa satiété. — Vas-y, lâche ton foutre, remplis-la, la cochonne, crache ta semence, défonce-la cette truie, bute-la, cette salope ! Sur ce, le gros verrat se libéra dans un long râlement. Il explosa ...
    ... son foutre violemment dans la petite truie qui n’attendait que ça. Je n’avais jamais vu autant de sperme jaillir de la vulve de la petite truie. Pour être remplie, elle l’était jusqu’à ras bord. De longues coulées de sperme chaud s’égouttaient d’elle, jusque sur la paille. Lorsque tout fut terminé, la patronne se retourna vers moi, satisfaite de la tournure des événements. Elle me fixa directement dans les yeux, comme pour jauger mon inconfort vis-à-vis de la situation. — Je vois que ça t’a excité, mon petit cochon… Avec toute cette mise en scène, j’étais bandé dur comme fer, d’autant plus que durant l’été je ne portais pas de sous-vêtement sous ma salopette, laissant ainsi libre cours à ma virilité de s’exprimer et elle s’exprimait avec ardeur. Cela ne semblait pas déplaire outre mesure à la patronne qui l’avait remarqué, car elle se mit à me tâter la fermeté. — On dirait que tu es bien équipé côté engin, mon jeune verrat, je veux voir ça de plus près… Elle se mit alors à dégrafer les boutons de ma salopette pour m’investiguer. Aussitôt libéré, mon membre, fébrile, sortit fier, vigoureux et au garde à vous. La patronne, satisfaite de son initiative, l’empoigna d’une main ferme et décidée, comme s’il lui appartenait en propre. Elle se mit à le caresser de long en large comme pour soupeser sa capacité à lui offrir du plaisir. — Elle est vraiment très dure, mon petit vicieux, j’aime ça, voir des mâles tout excités et vigoureux… Elle poursuivait son tripotage, sa main baladeuse ...
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