Christine
Datte: 30/03/2018,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
Oral
pénétratio,
... sais pas si j’ai fait une connerie, mais je bande à en avoir mal et je veux la prendre, là, tout de suite. — Je croyais que tu avais une copine— Euh, je… c’est pas vraiment officiel…— Et ? Des bruits de pas se rapprochent ; elle se rhabille et me lâche un « Je passe à ton bureau. » avant de me laisser en plan. Elle passe devant les deux collègues et leurs papiers et remonte les étages comme si rien ne s’était passé, et moi je file me débarbouiller de toute la cyprine que j’ai sur le visage. Je remonte à mon bureau, incapable même de faire semblant de travailler, et Christine ne vient toujours pas. Trente minutes plus tard elle passe en papotant avec ses collègues. — On y va ? me fait-elle, indifférente. Je suis fébrile et elle s’amuse de me voir essayer de sauver les apparences. La voiture à peine lancée, elle me regarde avec un grand sourire et lève sa jambe. Elle a la chatte à l’air et commence à se toucher en me regardant intensément et se mordillant la lèvre. Ça devient difficile de conduire, et je ne vais sûrement pas passer le gardien comme ça. Je cherche un coin où m’arrêter mais ne trouve que le parking des opérateurs un peu plus loin, heureusement désert. Elle se jette sur mon entrejambe avant que je puisse bouger, sort mon sexe et l’englobe tout entier avant d’enrouler sa langue sur mon gland et le ressortir lentement dans un grand bruit de succion. — Mon pauvre chat, je vais te soulager. Je suis en sueur. Je l’attrape derrière la nuque et lui repose la bouche sur ...
... mon sexe. Elle commence des va-et-vient sirupeux de plus en plus rapides et tire fort sur mon gland ; avec son autre main elle me tire sur les bourses. Je vois sa salive qui coule contre mon sexe tendu et son regard qui me pénètre. J’explose dans un râle de délivrance. Je n’ai pas le temps de reprendre mes esprits ; elle vient coller sa bouche contre la mienne et je sens un flot âcre couler sur ma langue. Ça me rebute mais elle me roule une pelle d’enfer et continue d’astiquer mon sexe encore tressautant ; elle fouille ma bouche de sa langue et je me vois forcé d’avaler ma propre semence. Elle me regarde tirer la grimace avec un grand sourire et annonce fièrement : — À moi ! Elle allonge mon siège et vient se poser à califourchon sur mon visage. Je peux enfin prendre ses seins à pleines mains et je m’en donne à cœur joie. Maintenant que je suis un peu calmé, je fais le tour de ses lèvres, je la titille du bout la langue, je plonge ma langue au plus loin dans son vagin jusqu’à ce qu’elle me demande d’arrêter ;« Hé, chacun son tour ! » Je continue à lui boire goulûment l’entrejambe jusqu’à ce qu’elle lâche prise et s’effondre sur moi. On reprend notre souffle quelques minutes et on sort enfin du site. Sur le chemin, je recommence à bander. Je n’ai jamais fait le trajet du boulot aussi vite de ma vie. Arrivé, je la suis jusqu’à sa porte, et là elle m’embrasse et me lâche : — Ça sera tout pour aujourd’hui, mon beau.— Quoi ?! Je commence à enrager de ne pas conclure, mais elle pose ...