1. Retour sous un tropique


    Datte: 30/03/2018, Catégories: volupté, Masturbation Oral nopéné,

    ... donne. Je peux glisser en elle et me nourrir de cette autre saveur. Ce ne sont plus des murmures que j’entends. Ses fesses se resserrent autour de ma langue, s’offrent dans l’ondulation de ses reins. La danse excitante de cette croupe ronde, juste pour moi, seul spectateur chaviré. Mes doigts courent sur ses cuisses, se fixent dans sa chair. Elle bouge si fort sur moi, presque violemment, avec des soupirs qui deviennent plus rauques. Et puis elle se détache de moi et redressée, se frotte partout sur moi, assise, me chevauchant, glissant sur mon torse, mon ventre, me laissant admirer ses reins offerts, son sexe trempé. Je sens sa main qui me saisit, tendu, si sensible à ces nouvelles caresses. Son mouvement est doux, mais appuyé, me tenant fort dans ses doigts. Son autre main vient masser mes bourses lisses. Ses caresses me rendent fou et je suis si tendu, que je sens le sang cogner dans mon sexe. Sa bouche revient me prendre, me léchant avec une avidité torride, j’entends le bruit de sa salive qui me mouille entier. Je n’ai pas cessé de la lécher, elle coule sur ma langue et je respire son odeur mélangée de miel et de sueur, ses cuisses moites serrant ma tête pour ressentir plus loin ma langue qui la fouille. Elle se dégage encore et se retourne face à moi, assise, dévoilant entièrement son sexe. Là, sans contrôle, sans aucune limite à son plaisir, elle se caresse en oubliant mon plaisir. Elle ne pense plus qu’à elle. Je m’approche, je veux la prendre maintenant, la ...
    ... sentir jouir autour de mon sexe. Elle me repousse, presque agressivement, partie dans son désir, loin de tout partage. Là, elle gémit doucement, ses lèvres se pincent, son souffle est saccadé. Je la regarde jouir, couverte de sueur, ses cheveux en mèches collées autour de son front. Elle ne crie pas, sa voix joue une musique longue, une sorte de feulement. Ses yeux sont enflammés, lumineux. Elle tombe sur le dos, ouverte, sa chatte exhibée sans pudeur. Je suis appuyé sur les coudes, étendu sur le dos. Elle respire fort, reprend haleine, les yeux mi-clos. Belle, frissonnante. Elle verse de l’eau sur son visage, la tête inclinée, comme une icône. Puis elle me sourit, me parle doucement en s’asseyant face à moi. Puis elle approche ses pieds de mon ventre, appuyant ici et là. Ils sont doux, glissent sur mon torse jusqu’à mon cou, puis mes joues, mes lèvres. Ils sont irrésistiblement excitants. Lorsqu’ils repartent vers mes cuisses, je ferme les yeux. J’aime le moment, où humides et tendres, ils se saisissent de mon sexe. Elle me caresse en me défiant du regard, puis elle salive sur ses orteils. Je les sens contre moi, mouillés, incroyablement agiles. La sensation est nouvelle, la texture de la peau différente sous la plante de ces pieds qui me prennent mieux qu’une main. Sans cesser son mouvement, je la vois poser ses mains sur ses seins, comme si elle avait négligé cette caresse dans sa jouissance. Au moment où je suis proche de jouir, elle le ressent, le devine et abandonne ses ...