Christine VI : Midlife Crisis (1)
Datte: 30/03/2018,
Catégories:
Hétéro
... sodomiser plus fort lors de notre second ébat. Soirée de rêve. Mais sur le fond, sur notre relation quotidienne, nous n’avons pas avancé, car il y a encore et toujours des dissensions, des reproches avec mon épouse. Cette soirée en couple faisait suite à ma promotion au sein de l’entreprise. Je vais en effet devenir responsable des valeurs. Quand bien même je n’aurais personne sous ma responsabilité, le poste qui m’est proposé est l’un des plus intéressants et des plus importants de l’entreprise. Ma mutation est prévue pour le 1er janvier 2019. Ainsi, le mercredi 5 décembre 2018, nous accueillons au sein du bureau une nouvelle collaboratrice, Mélissa, engagée à temps partiel, qui doit soulager le travail administratif durant les deux mois de transition. Son aide sera précieuse et son expérience devraient lui permettre d’effectuer les tâches demandées. Néanmoins, ce jour-là, nous avons toutes et tous une sensation étrange, voire une appréhension, en voyant arriver cette immense brune aux longs cheveux. Habillée d’un pull gris foncé, d’une longue jupe noir et de bottines à talons compensés, il ne manque à Mélissa qu’un peu de maquillage noir ou deux accessoires pour en faire un cliché gothique. Mais après quelques jours seulement, elle est devenue indispensable. Et de plus, elle nous surprend à "encaisser" avec un sourire non feint les blagues sur son mutisme, ses sombres tenues ou ses cheveux éternellement devant son visage. Mais physiquement, avec ses épaules marquées, des ...
... hanches un peu larges, un visage rond et peu avenant, en dépit d’une jolie bouche large et ourlée, Mélissa n’est pas du tout mon style de femme. Une dizaine de jours après l’arrivée de Mélissa, le vendredi 14 décembre, nous sortons entre collègues pour une sorte d’apéro de Noël, organisé à la va-vite. Nous sommes huit, dont Mélissa. Dans un bar à vin, nous dégustons de la charcuterie et du fromage en goûtant divers cépages de la région, quand une main se pose sur mon épaule : — Salut Florent ! Je ne savais pas que tu fréquentais cet établissement. Je me tourne et Alina me fait la bise. — Salut ! C’est la première fois que je viens ici, c’est un collègue qui nous a conseillé ce bar. Nous papotons quelques instants. Alina me demande si je reste encore. Comme moi, elle est avec plusieurs collègues. Ils cherchent une place mais le bar est plein. Nous décidons de nous serrer d’un côté de notre table pour qu’ils puissent rester. Une décision amicale qui va avoir des conséquences, car la soirée avançant, notre immense tablée se vide petit à petit et les deux groupes se réunissent finalement pour parler ensemble. A 23h30, nous ne sommes plus que quatre à table, Alina et moi, ainsi que deux de ses collègues. Ces derniers s’en vont dix minutes plus tard. Alina et Michaël, son mari, s’étaient séparés à notre grande surprise juste avant l’été. Quelques jours avant leur séparation, ils mangeaient encore chez nous et je n’avais rien remarqué de particulier dans leurs comportements. Par la ...