1. Christine VI : Midlife Crisis (1)


    Datte: 30/03/2018, Catégories: Hétéro

    ... suite, Alina avait vaguement indiqué à Christine qu’ils avaient "de grosses divergences". C’est tout. Cet été, elle nous avait invités chez elle et il y a trois semaines, elle était revenue manger à la maison. Elle me demande : — Tout va bien entre Christine et toi ? — Oui, oui, ça va. Il y a des hauts et des bas, comme dans tous les couples, mais ça va… — J’avais été surprise de vous voir vous disputer quand j’avais mangé chez vous. L’ambiance de la soirée s’en était ressenti. — Je suis désolé. En ce moment, c’est un peu plus fréquent, malheureusement… — Il y a des phases dans les couples. L’essentiel est de sortir rapidement des négatives. — Oui… Elle me regarde. — Ça n’est pas le cas, c’est ça ? — Pas vraiment, non. Alina tente de me faire sourire. — Allez, Florent ! Tu sais très bien qu’on se réconcilie sous la couette ! — Oui. Mais là, il n’y a aucun problème justement. C’est quand nous ne sommes pas sous la couette qu’il y a des soucis. — Il n’y a plus de porte-jarretelles ? Je souris cette fois. — Il y en a encore, de temps en temps. Mais plus rarement. Et toi ? Alina est surprise par ma question. Elle rit. — Aaah, ces deux fameuses soirées. C’était quand ? Il y a deux ans ? — Trois ans déjà. — Ça avait été épique. Et je dois bien dire que ça nous avait fait du bien à Miki et moi. Mais nous n’avons fait que repousser l’échéance. — Tu en avais porté plus fréquemment après la soirée ? — Des porte-jarretelles ? Oui, trois ou quatre fois… Je souris. — Et moi qui en ...
    ... imaginais un sous la charmante petite robe noire que tu portes ce soir ! Elle sourit, touchée. — Je crains que ça ne soit pas le cas. Même pas des Dim’Up ! Il est minuit. Je paie les dernières consommations et nous partons. Alina n’a pas de voiture et je lui propose de la ramener. Elle a gardé la maison qu’elle occupait avec Michaël et je me gare devant. — Puis-je te proposer un dernier verre ? Je ris. — Est-ce vraiment raisonnable ? Elle sourit mais pas franchement. Peut-être n’a-t-elle pas compris mon allusion. J’en rajoute en riant : — Et puis je devrais répondre non maintenant que je sais que tu n’as pas de porte-jarretelles sous ta robe ! aballiv Toujours ce sourire, énigmatique. Elle dit : — Tu sembles vraiment très intéressé par ce qu’il y a sous ma robe… — Oui… Enfin, non !… Heu… Par simple curiosité… Je bafouille. Alina prend de l’assurance. Je me sens pris au piège. Ça va trop vite. — Tu es curieux, Florent ? — Oui… — Alors je te permets de regarder ce qu’il y a sous ma robe. Que se passe-t-il ? Jusque là, tout s’était bien passé. Je me sentais bien avec elle, une discussion agréable, sans arrière-pensées, avec une amie, une amie de ma femme. Je n’avais rien remarqué. Je m’étais un peu livré, j’avais confirmé ce qu’elle avait remarqué par elle-même en venant manger chez nous. M’avait-elle senti vulnérable ? Sa proposition est directe et je suis tiraillé entre cet agréable jeu de séduction et tout ce qu’un éventuel geste de ma part pourrait déclencher. J’essaye de penser ...