Juliane, oh Juliane. (2)
Datte: 14/07/2017,
Catégories:
Inceste / Tabou
Cette fellation surprise de Juliane avait constitué pour moi une expérience perturbante. Jamais je ne m’étais imaginé que des relations sexuelles entre père et fille pouvaient arriver de cette manière presque « naturelle », aussi facilement qu’une simple relation extra-conjugale… Pour moi, ce genre d’histoire était toujours attaché à des contextes familiaux très difficiles, où a des perversions paternelles, et ne pouvaient en aucune cas survenir dans une famille normale, où tout allait bien. Je ressentais un trouble profond à l’égard de ce qui s’était passé, et je ne regardais plus Julianne de la même façon les jours suivants. Elle, au contraire, semblait s’en tirer tout à fait bien avec sa conscience : son comportement était toujours le même que d’habitude lors des repas en famille, ou dans la vie de tous les jours… Cependant, lorsqu’il arrivait que nous retrouvions seuls un moment, elle ne manquait jamais une occasion de me rappeler à la mémoire qu’elle n’était désormais pas que ma fille : par un simple mot, une allusion sans équivoque. Ainsi, nous étions tous trois en voiture, discutant tranquillement de l’éducation des enfants. Juliane nous disait que la concernant, elle avait apprécié notre attitude pendant son adolescence, qu’elle s’était à la fois sentie suffisamment libre et assez encadrée par nous. Et même, qu’elle appréciait à la fois le caractère stricte de sa mère et celui plus souple du mien, que cela constituait à ses yeux un juste équilibre. Là-dessus, je ...
... m’étais garé devant une boutique où ma femme Hélène avait quelque chose à prendre, et celle-ci était descendue de voiture : quelques minutes après, alors qu’Hélène revenait vers la voiture, Julianne avait lâché : « mais ce que je préfère chez toi, papa, c’est ton gros engin, bien dur, et sentir que je lui fais du bien… Mais tu le sais, n’est-ce pas ? Comme tu as jouis fort l’autre fois, mon papa chéri ! J’ai adoré… J’espère qu’on recommencera bientôt. » Deux secondes après, maman entrait dans la voiture et j’avais bien du mal à contenir mon trouble… Je me rendis rapidement compte que ma fille m’obsédait l’esprit. Petit à petit, progressivement, je résolus de donner suite à ses avances. Je dus partir quelques jours en déplacement professionnels peu après, et sur la route du retour, j’avais prévenu Hélène que je rentrerai tard dans la nuit. Je garais ma voiture dans la rue, et entra dans la maison obscure et endormie en faisant le moins de bruit possible, et montai tout doucement l’escalier en chaussettes. Arrivé à l’étage, je me dirigeai d’abord vers ma chambre, où dormait Hélène. Je me tins près de la porte entrouverte un long moment : je voulais être sûr que ma femme dormait profondément. J’écoutais longtemps sa respiration profonde et régulière, émaillée de légers ronflements. Convaincu, je fermai la porte très prudemment, et me dirigeai à pas de loup vers la chambre de Julianne. Je me glissai par la porte entrouverte également, et resta au milieu de la pièce sombre sans un ...