1. Juliane, oh Juliane. (2)


    Datte: 14/07/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... bruit, guettant la respiration de ma fille, et laissant mes yeux s’habituer un peu plus encore à la très faible lumière lunaire filtrant par la fenêtre. ihtippbx J’entendais la respiration lente et légère de Julianne, et devinait plus que je ne voyais son corps couché sur le ventre, ses deux bras sous l’oreiller. Elle portait un long tee-shirt blanc, qui ne couvrait qu’à peine son fessier. L’ensemble du tableau était pour moi une véritable incitation à la débauche. Je m’approchai sans bruit de sa couche, et m’agenouilla doucement auprès du lit, guettant toujours les bruits de la maison. J’effleurai lentement la peau de sa nuque de mes doigts – je voyais plus distinctement maintenant – et je descendis ma main le long de son dos, la caressant doucement à travers le tissu du tee-shirt. Elle bougea imperceptiblement, faisant entendre un très léger grognement, et j’arrêtai mon mouvement. Puis je repris ma caresse de haut en bas et de bas en haut de son dos, d’un geste très doux. Julianne inspira puis expira lentement, en remuant un peu plus. Cette fois, ma main arrivée en bas de son dos poursuivi sa route sur sa cuisse, et me penchant sur elle je déposai un baiser sur sa nuque, et fis glisser mes lèvres sur sa peau. Son parfum qui pénétrait mes narines et la douceur de sa peau, ajoutés à la sensualité du moment, m’excitaient grandement. Elle émit un petit son, comme une plainte étouffée, et un frisson lui parcouru le dos. Je lui murmurai tout près de son oreille « bonsoir ma ...
    ... jolie petite fille adorée… » Tout en continuant à lui caresser la cuisse, de plus en plus haut. Pour toute réponse elle expira longuement par la bouche et repris sa respiration, signe que l’excitation la gagnait. Elle écarta lentement ses cuisses, comme un signal, une autorisation… Pas un autre bruit ne se faisait entendre dans la maison. D’une main je remontai son tee-shirt pour caresser ses belles fesses, et je glissai l’autre entre ses cuisses, pour venir recouvrir toute sa chatte avec, la mettant en forme de corolle. Julianne frissonna une fois encore, et sa respiration se fit plus lourde, oppressée. Elle releva son bassin pour mieux s’offrir à moi. Je caressai lentement le haut de sa vulve de mes doigts, sentant avec délice sa nudité humide. Ma propre respiration s’accélérait, et j’en rajoutai même un peu, tout près de son oreille, pour que mon excitation l’émeuve encore plus. « Tu aimes que ton père te touche la chatte, ma fille, hein ? » lui dis-je tout bas. Elle acquiesça de la tête sans un mot. « Aimeras-tu qu’il te la lèche ? » Elle répondit d’un court et faible gémissement. Je saisi sa jambe d’une main, la repliai et la manipulai de telle sorte que, son corps suivant, elle se retrouva sur le dos… Je lui baisai alors d’abord le genou, puis, petit à petit, remontai le long de l’intérieur de sa cuisse… J’entendais sa respiration excitée. Je vins finalement poser mes lèvres sur sa chatte, et me mis à la lécher copieusement, amoureusement. Juliane écarta largement les ...