1. Une double initiation


    Datte: 31/03/2018, Catégories: fhh, fplusag, Collègues / Travail hsoumis, fdomine, humilié(e), contrainte, hsodo, sm, attache, init, hsoumisaf,

    Je l’avais tout de suite remarquée en arrivant dans mon nouveau travail : Ghislaine, la secrétaire, ne me laissait pas indifférent. La quarantaine, elle avait un joli visage, une poitrine menue mais ferme, des fesses plates et de très belles jambes. C’était une femme d’un certain âge, mais qui avait ce que beaucoup de jeunettes maquillées « pâte à beurre » n’ont pas : du charme. Elle n’était cependant pas toujours habillée à mon goût, ce qui m’empêchait de fantasmer véritablement sur elle : je suis très sensible au code vestimentaire, et j’ai horreur en particulier des fautes de goût. Cependant, quand elle portait un tailleur « au-dessus du genou », je devais faire attention à ce que mes regards déviants ne soient pas remarqués ! Elle avait un air assez sévère, un peu coincé aussi. Pas le chignon tailleur cependant. Nous entretenions des rapports très courtois, un vouvoiement un peu distant. Marié depuis huit ans, cela faisait quelque temps que ma femme ne s’intéressait plus au sexe. J’en étais réduit à me masturber de temps en temps, jusqu’au jour où j’ai décidé de m’affranchir de l’obligation de fidélité. Je me suis alors tout de suite tourné vers mon principal fantasme : la soumission. Après quelques pérégrinations sur internet, j’ai trouvé ce que je cherchais : une boîte qui organisait des rencontres sur ce thème. L’endroit avait l’air sérieux, de bonne tenue. Des échos positifs sur divers forums m’ont convaincu de sauter le pas et de me faire connaître des ...
    ... organisateurs. Ayant prétexté un voyage d’affaires, chose plausible dans mon cas, je me rendis dans ce club. Le cerbère me fit entrer et je découvris un lieu assez feutré, lumières tamisées, à cent lieues du cliché SM-Donjon. Cependant, l’habillement de certaines personnes ne laissait pas planer le doute. En tant que novice, les organisateurs avaient toléré que je ne porte que des vêtements de ville, pourvu qu’ils ne soient pas vulgaires. J’étais donc en jean et pull ; classique quoi ! Je m’adossai au bar et regardai plus attentivement les femmes : plutôt jeunes, trente à quarante ans, certaines mignonnes, d’autres assez laides… Tout à coup, mon regard croisa celui d’une personne que je mis une ou deux secondes à reconnaître : c’était Ghislaine. J’étais totalement surpris et gêné. Elle aussi m’avait vu ; elle eut un moment de stupeur, très court, et tout de suite elle comprit le piquant de la situation et le parti qu’elle pouvait en tirer. Elle se leva et vint vers moi. — Vous n’avez pas l’air très à l’aise, Monsieur, voulez-vous être guidé ? L’emploi de « Monsieur » avait tout de suite mis les barrières : ici, nos rôles étaient tout différents de nos rôles habituels. Elle semblait parfaitement à l’aise dans cet endroit. Je mis un petit instant avant de répondre difficilement : — Oui Madame, je veux bien. Une lueur assez perverse traversa son regard et acheva de me déstabiliser. Un petit silence s’ensuivit ; elle devait réfléchir à la suite des événements. Je mis à profit ce laps de temps ...
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