1. Une double initiation


    Datte: 31/03/2018, Catégories: fhh, fplusag, Collègues / Travail hsoumis, fdomine, humilié(e), contrainte, hsodo, sm, attache, init, hsoumisaf,

    ... pour la regarder. Dans mon trouble je n’avais même pas remarqué que son code vestimentaire répondait à un de mes fantasmes : elle portait un bustier rose en cuir, avec des lacets dans le dos comme je le vis plus tard. Il mettait parfaitement en valeur sa jolie poitrine et sa taille fine. Elle portait également une jupe portefeuille mi-cuisses en cuir noir, avec de belles bottes à talons. Cela m’électrisa complètement et je sentis une bouffée de chaleur monter en moi. On devinait un petit ventre de femme et le regard était tout de suite attiré vers ses jambes fines. Pas une faute de goût, donc… Son maquillage était différent de celui qu’elle portait habituellement : il rendait son regard plus noir encore, plus perçant et scrutateur. Son visage, bien que portant légèrement la marque du temps, était fin et toujours aussi charmant. Ce laps de temps ne dura pas. Elle me dit : — Suivez moi ! Je la suivis à l’étage dans une salle peu éclairée où nous étions apparemment seuls. Elle prit une petite cravache sur une commode et me dit d’un ton qui n’admettait pas la réplique : — Déshabillez-vous ! Elle avait un air un peu moqueur, un peu content d’elle-même, comme si elle attendait de me donner cet ordre depuis fort longtemps. Je commençai à me déshabiller ; la chemise, les chaussures, chaussettes, le pantalon… Jusque là, ça allait plutôt bien, me déshabiller devant elle me posait moins de problème que je ne le pensais. Au moment d’enlever mon boxer, j’eus un moment d’hésitation : ma ...
    ... pudeur et ma timidité naturelle refaisaient surface… Elle ne laissa pas passer ce refus d’obéissance : elle fit légèrement claquer sa cravache sur mon ventre ; cela me bloqua complètement. Elle la fit descendre lentement en me disant : — Alors, vous ne voulez plus vous déshabiller ? Ce faisant, elle avait baissé sa cravache sur mon sexe. Soudain, elle donna un petit coup sec sur mes testicules, par en dessous. Pour faire mal à un homme sur cette partie sensible de son corps, il ne faut pas nécessairement taper fort, il faut taper juste, et manifestement Ghislaine était experte en la matière. La douleur m’envahit le bas-ventre et me fit plier en deux. C’était la première fois que je me faisais ainsi traiter, et en ajoutant le fait que ce traitement venait de cette femme, cela m’excitait passablement. Ghislaine reprit tout de suite les opérations en me faisant redresser ; elle n’eut rien à dire, je savais ce que je devais faire. Je fis tomber mon boxer à mes pieds, dévoilant mon sexe, plutôt petit. Ghislaine l’examina d’un œil distrait et avec une petite moue, me montrant par là qu’elle était déçue de ce qu’elle voyait. Je me sentais humilié dans ma virilité même. Elle inspecta mes fesses fermes et rebondies. Je sentis la cravache passer dessus. — Hum… bien sûr, ce sera la première fois… Je ne compris pas le sens de ces paroles, d’autant qu’elles ne semblaient pas s’adresser à moi, mais à une autre personne derrière moi. — Suivez-moi ! Elle me guida dans une autre pièce : il y ...