1. Les deux piliers du bar d'en face (1)


    Datte: 01/04/2018, Catégories: Trash,

    ... mec chez toi pendant que ton cocu de mari était au boulot lundi ! » À cette évocation je frissonne, de peur un peu, mais surtout d’excitation. C’est une réaction incontrôlable car il vient de vous mentionner, mon Maître... Je ne réponds toujours rien alors il ajoute : « Donc, si la salope que t’es ne veux pas que j’aille tout balancer, elle va gentiment nous suivre sans discuter. » Il m’attrape par la taille, me serrant contre son corps tout flasque et m’entraîne vers la terrasse à l’arrière du bar. Gérard suit juste derrière, ricanant toujours. J’avance mécaniquement, sans réellement penser à mettre un pied devant l’autre. Je ne pense même pas à résister ou à me mettre à courir. Je pourrais facilement leur échapper. Je suis sportive, plus rapide qu’eux et parfaitement capable de courir avec des talons. Et pourtant je ne le fais pas... Une fois sur la terrasse, Benjamin continue d’avancer. Il nous dirige vers le truc le plus immonde du village : les toilettes publiques derrière l’église. Je sens déjà l’odeur nauséabonde me retourner l’estomac... Mais je ne m’enfuis toujours pas. Arrivée à l’intérieur, je me retrouve plaquée contre le mur entre les urinoirs pour hommes. Benjamin me tiens par la gorge et instinctivement mon corps se prépare. Mes seins se tendent, ma chatte se lubrifie et mon clitoris pulse dans mon string. Mon corps réagit à cette démonstration d’autorité, habitué suite aux séances avec vous, Monsieur. Il ne compresse pas assez ma trachée pour m’empêcher ...
    ... de respirer mais suffisamment pour que je halète à la recherche d’un peu plus d’air. Il s’amuse de me voir ouvrir la bouche, espérant ainsi retrouver mon souffle. Mais je n’arrive qu’à deux choses, prendre plus conscience encore de l’environnement pestilentiel qui m’entoure et déclencher un autre commentaire de la part de Benjamin : « T’as raison d’ouvrir la bouche, tu vas en avoir besoin. Mais avant... » Il lâche mon cou pour saisir le col de ma veste et la tirer, sans douceur bien sûr, le long de mes bras. Puis attrape le bas de ma robe pour la passer par dessus ma tête. Je ferme les yeux pour ne pas voir les leurs découvrir ce que mes habits cachaient. Je suis seins nus, avec ma poitrine certes petite mais ferme le soutien gorge est accessoire, vêtue de mon string blanc "à papillon", enfilé en pensant à vous, mon Maître, dont les attaches viennent tenir mes bas couleur chair. Et toujours chaussée de mes bottines à talons... Nouveau grognement de Gérard et nouveau commentaire fleuri de Benjamin : « Bah ma salope, tu caches bien ton jeu ! 10 ans que tu te la joues sainte Nitouche quand on te croise alors que t’es qu’une femelle en chaleur. » Je sens des doigts me pincer trop fort les tétons et les tordre, m’arrachant un gémissement de douleur. Le ton est donné: au cas où je n’avais pas bien compris, ils vont s’occuper de leur plaisir sans chercher à m’en donner. Quatre mains me touchent, tâtent, palpent comme pour évaluer la marchandise. Je garde les yeux fermés, essayant ...