1. Solitude incandescente


    Datte: 02/04/2018, Catégories: f, ffh, fépilée, revede, ffontaine, Masturbation légumes, fdanus,

    Quelle chaleur étouffante… Suite à mon déménagement dans le sud, mon corps n’était absolument pas habitué à ces températures cuisantes… Et que dire ! Enfermée dans ma nouvelle villa, seule, je tourne en rond… Les meubles sont posés, les affaires amenées, mais la déco attendra. Pourquoi ? Je veux choisir l’environnement de mon nouveau nid avec mon mari, malheureusement en déplacement pour trois semaines. Il ne sera resté que deux jours, le temps de boucler le « bazar » du déménagement… Un vrai crève-cœur que de le voir partir, malgré l’habitude. Cette fois, nous prenons un nouveau virage dans nos vies, découvrons une nouvelle région et me voilà seule face à tout cela. Nos enfants – l’aîné de sept ans et les jumeaux de cinq ans – en vacances avec mes parents, je me retrouve face à moi-même jusqu’à la semaine prochaine… Les trois premiers jours passent tranquillement, optant pour quelques passages sur le net pour trouver des idées déco, mon loisir favori (avouable…), ou au bord de la piscine. Pas avant 17 h, la chaleur écrasante de l’arrière-pays héraultais bannissant toute idée de plein soleil ! Après plusieurs longueurs et quelques chapitres d’un bon thriller, je mis mon portable à charger afin d’être sûre de ne pas tomber en rade de batterie quand mon amour téléphonerait ce soir. En ce samedi, je le savais au golf avec des collègues, ce qui me faisait lâcher un soupir de dépit. Extrêmement sportif, j’imaginai ce moment que j’adore tant à ses retours de séances, transpirant, ...
    ... son torse bombé et ses bras protecteurs ruisselants me tendant ses vêtements à laver. Un moment divin pour moi qu’il n’a jamais compris et qui, en voyant mon regard fier et plein de désir, je le sais, le rend tout chose… Perdue dans mes pensées, le bip d’un message me réveillait alors. Quand on parle du loup… Mon homme, torse nu, visiblement éprouvé, en serviette. Il le sait, le hammam reste l’un de mes préliminaires favoris, laissant présager un tout autre type de chaleur dans le vestiaire ou la douche ensuite… De quoi ressentir illico une manifestation physique, mes seins se trouvant bien à l’étroit dans mon petit haut de maillot triangle, ne cachant rien de mes tétons avidement dressés. Et le message suivant illustrait sans hésitation cette envie partagée de mon mari. Et s’accompagnait d’un cliché, cette fois-ci serviette tombée, de son athlétique corps, mais surtout de ce long membre parfaitement bandé, au gland turgescent, collé littéralement à son ventre. Une telle perfection mériterait qu’on en fasse un moulage. Une vague m’emportait l’estomac, mon cœur s’affolait. Malgré le torride au-revoir lors de notre dernière nuit, mon corps ne pouvait résister à ce sublime spectacle. Paupières closes, deux secondes suffirent à mon esprit pour « sentir » sur ma cuisse ce sexe dur, épais, sa divine courbure stimulant à l’extrême mon antre dès qu’il me pénétrait… Sans m’en rendre compte, ma main avait déjà investi ma culotte, ma fente ruisselante détrempant mon entre-jambe. Je me ...
«123»