Solitude incandescente
Datte: 02/04/2018,
Catégories:
f,
ffh,
fépilée,
revede,
ffontaine,
Masturbation
légumes,
fdanus,
... jetai sur le lit, arrachant mes liens, libérant mes seins durs comme des pierres, sensibles au moindre effleurement. Je me délectais sans honte de mon corps, une glace voyeuse me reflétant et me renvoyant les images incendiaires de notre première nuit ici… Je suis « modèle réduit », certes, mais musclée, à la taille extrêmement fine contrastant avec ce postérieur bombé appelant au vice. Mes petits seins arrogants répondirent instantanément aux caresses répétées, comme si mes tétons étaient directement reliés à mon clitoris. Mon bouton dépassait de mes lèvres où une fine bande de très courts poils m’offraient d’électriques sensations, ma main stimulant cette petite zone. La douceur de mon sexe parfaitement épilé, me faisait déraper, mon jus dégoulinant par saccades. Je trouvais alors ma rondelle, un simple glissement sur elle m’arrachant un cri. Ma langue trouva alors mon sein droit, et je léchais, aspirais, inlassablement ce téton surexcité tandis qu’un doigt distendait en tournoyant mon petit trou. Ma tête s’emplissait d’images de mon homme, son braquemart distendant ma chatte trempée, sa langue et ses doigts s’acharnant sur mes seins. Je me voulais remplie, mes doigts ne suffisaient plus. Ivre de désir, je rêvais de m’empaler sur ce sexe si large. N’y tenant plus, même si la honte me tiraillait, je pensai aux courgettes achetées le matin même au marché et dégoulinai de plus belle. Me ruant dans la cuisine, je choisis la plus « convenable », la nettoyai. J’osais à peine me ...
... regarder lorsque que j’enduisis de lubrifiant cet énorme pénis de substitution. Reprenant mes caresses, je ne tardai pourtant pas à m’enfoncer dans un feulement le divin légume. En quelques allers retours je jouis, arrosant de ma mouille les draps, mon clito en feu ne semblant pas vouloir s’arrêter. Ma tête explosait et pourtant ma soif de sexe n’était pas rassasiée. Nous discutons de tout avec mon homme et à l’instant, ce sont ses fantasmes qui me hantaient, en plus de cette image de lui prêt à me prendre… Je me levai, allai boire, enfilai une robe et tentai de me calmer. Les heures passaient, sans pour autant que le film de ma pause salace ne s’efface, se mêlant des bribes de souvenirs aussi chauds que la météo. Je me disais qu’un film romantique, historique et prude allait me calmer. Jane Eyre au programme : parfait ! Vers 22 h 45, mon mari m’appela, s’étonnant de n’avoir pas eu de réponse à son texto. — Tu n’as pas aimé ? Je suis fou de désir pour toi depuis cet aprèm’, impossible de me calmer. J’imaginais tes seins dans ma bouche, ton sexe trempé sous mes doigts, tes gémissements et tes suppliques pour que je te prenne…— Arrête, je n’arrive pas à penser à autre chose, je suis complètement à bout… J’ai envie de tout, là… ça n’a pas suffi.— Pas suffi ? Je vois que tu n’as pas besoin de moi… J’adore quand tu me le dis…— Envie de plus…— Alors je vais te laisser. Tant que c’est à moi que tu penses… Moi, dans le vestiaire, je t’imaginais penchée, sur le banc, pendant que je ...