1. Une fraise à la bouche PARTIE 2 De Pauline


    Datte: 02/04/2018, Catégories: ff, frousses, rousseurs, amour, volupté, intermast, Oral fdanus, jeu, aliments, attache, glaçon,

    Enfin Floriane revenait. Elle m’avait littéralement abandonnée dans la chambre pour aller je ne sais où. J’avais tellement besoin qu’elle revienne. Son petit jeu, en plus, commençait à m’agacer. Non : à m’énerver, à me rendre folle. Un peu comme si mes nerfs étaient saccagés et que la moindre stimulation, la moindre parole, voire le moindre son, allait me faire perdre conscience. Mon corps n’était que tension. J’avais l’impression que ma peau était électrique. Elle en devenait douloureuse à chaque endroit que Floriane explorait. Cet adorable être me prenait pour son jouet et ça m’agaçait. Je savais pertinemment qu’elle ne me considérait absolument pas comme un jouet en tant que tel mais elle cherchait à me posséder encore plus depuis quelques jours. Je n’étais pas vraiment esclave de son désir, ce soir, mais elle me gardait quand même réellement à sa merci. Son idée de m’attacher m’avait séduite. Je savais que je ne risquais rien, elle ne serait pas méchante comme pouvait le devenir je suppose, un homme ou un partenaire sexuel. Je savais que le seul risque que j’avais était d’avoir l’orgasme de trop, celui qui m’épuiserait pour des jours. Floriane ne pouvait pas être violente ni agressive. Je l’aimais sincèrement, d’un amour sûrement démesuré, qui me rongeait chaque jour, et il en était de même pour elle à mon égard. Nos longues discussions permettaient de sonder nos esprits respectifs et je connaissais presque parfaitement le moindre recoin de sa pensée. Elle communiquait ...
    ... tellement librement avec moi que je savais ce à quoi elle aspirait. Nous étions deux filles qui nous consacrions essentiellement à nos âmes. Nous réfléchissions à nos esprits, chacune apportant à l’autre ce qui lui manquait. J’avais découvert en Floriane l’unique clef de mon existence. Une humaine illimitée dans les relations corporelles, qu’elles soient physiques ou psychiques. Ce soir, après le restaurant, j’avais envie de l’aimer. De lui laisser libre utilisation de mon être et de mon organisme tout entier. Lors de nos ébats habituels, chacune commandait à tour de rôle, au hasard. Je savais que Floriane adorait me donner du plaisir et la réciproque était vraie. Elle aurait volontiers arrêté la relation sexuelle juste après que j’ai atteint le septième ciel, en se contentant de me regarder. J’avais appris ceci de nombreuses fois et j’étais obligée de me consacrer aussi à elle, pour lui rendre la pareille. Chose que je faisais avec délectation. Imaginer les sensations de ma petite chérie me comblait de bonheur. Penser que ce qu’elle ressentait était ce que j’avais ressenti m’apprenait son plaisir et j’en étais fière et heureuse. Je savais que ce soir, elle voulait me capturer. J’avais envie de la voir m’utiliser un peu. Après, sans doute, les rôles s’inverseraient et j’en ferais de même. Nous nous étions fixé une règle : ne pas chercher à obtenir autant d’orgasmes l’une que l’autre durant nos ébats, si l’autre se contentait de ce qu’elle avait eu. Je respectais la règle. Elle ...
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