Une fraise à la bouche PARTIE 2 De Pauline
Datte: 02/04/2018,
Catégories:
ff,
frousses,
rousseurs,
amour,
volupté,
intermast,
Oral
fdanus,
jeu,
aliments,
attache,
glaçon,
... aussi. Ce n’était pas un donné pour un rendu , je savais me montrer patiente, et non pas capricieuse, si Floriane venait d’atteindre l’orgasme alors que je l’attendais encore. Elle m’avait bandé les yeux avec ma propre écharpe. Elle avait entravé mes mains à la tête de mon lit. J’avais envie de me donner et de tout connaître d’elle ce soir. Et enfin, après les caresses de tout à l’heure, elle revenait. Je l’entendis s’approcher sans un mot. Elle s’agenouilla sur le lit. J’attendais ses mains ou sa bouche et elle posa quelque chose sur ma bouche. C’était frais, légèrement humide et velouté. Un fruit. Je ne pus réfréner un cri de surprise et ma bouche s’aventura dans un « Hé ! » sincère, venu du fond du cœur. J’arrachai un morceau du fruit en refermant mes incisives dessus. Le contact émoustillait ma chair et je sentais le feu prendre à mon visage. Mon ventre n’était qu’un torrent chaud en ébullition. Des vagues naissaient dans mes entrailles, s’échouaient sur ma peau tandis que je frissonnais, et s’en allaient en arrière pour mieux gonfler ensuite. Floriane maîtrisait l’art de créer les vagues à merveille. C’était une fraise. Nous en avions acheté ce midi, sans que je me doute un seul instant qu’elles seraient objets sexuels. J’adorais la fraise. Offerte par Floriane qui plus était. Ma lèvre inférieure fut tachée du jus rouge sang dans une délicate coulée d’arômes. C’était sucré et légèrement acide. L’excitation du jeu me délivra encore une décharge d’hormones. Floriane ...
... balayait ma lèvre avec la fraise comme elle l’aurait fait avec une plume. Effleurement délicat seulement. Elle chatouillait mon palais à distance, les picotements naissaient partout sur mes joues. Je lui dis « Ma grenadine, ça me rend folle la caresse de ça ! ». Elle n’écoutait rien et recommença son agaçant manège. J’essayai deux fois de m’en saisir d’un coup de dent, menaçant de lui mordre le doigt. Je ne voulais pas lui faire mal. Elle était plus rapide et possédait un avantage. Elle, au moins, pouvait me voir. Le bandeau me donnait chaud, il couvrait mon front et mes yeux ainsi que le haut de mon nez. J’avais essayé, pour m’amuser, de délivrer mes mains. Souhaitant ne pas réussir pour ne pas embêter Floriane, mais désirant tout de même être sûre de ne pas être vraiment captive. Pourtant c’était le cas, et cette idée me fit trembler un instant. J’étais attachée. Tant pis, Floriane me détacherait bien un jour. Je me concentrai sur les sensations de son jeu ; m’attendant une nouvelle fois à la fraise. Pourtant ce fut autre chose, infiniment plus angoissant. Contact frais et totalement désordonné. Quelque chose de petit. Je poussai deux cris d’effroi et de surprise « Ah ! Ah ! ». Elle chatouillait mon nez. Je ne savais pas avec quoi et ça m’angoissait terriblement. Tout mon visage fut cible de ses attaques, ainsi que mon cou. J’essayai de me contrôler mais je ne pus m’empêcher de haleter, sentant ma respiration s’enflammer et mon ventre durcir un peu plus. Elle allait me faire ...