1. SUR LE CAPOT...


    Datte: 02/04/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... dans ce jeu. Où je ne savais pas où cela aller me mener. Alors que deux étages plus haut, ma future femme attendaient sagement dans son appartement, ma venue. Des pensées qui furent très vite balayées par l’intensité des paroles de la femme : - Qu’attends-tu pour me toucher ? Elle parlait d’un ton léger, comme si sa requête n’avait pas plus d’importance que ça. Je me redressais. Nos regards se croissaient. La passion se lisait dans nos yeux. Le désir que j'éprouve pour cette inconnue était évident. La bosse que faisait mon érection était là comme pour l’attester. D’ailleurs elle la discerna, et prit l’initiative de l’effleurer d’un revers de sa main gauche. Incapable de me contenir, je n’avais pas pu résister à approcher ma bouche de la sienne. Mais elle esquiva mon geste. Plaquant son index sur mes lèvres. - Il n'y a que mon mari qui m'embrasse sur la bouche et personne d'autre. Toujours de la même menotte, elle augmenta la pression sur le devant de mon pantalon. Elle colla sa bouche près de mon oreille pour me chuchoter : - Tu vois mon mari nous observe un peu plus loin, ainsi qu’un couple d’amis. Et tout d’un coup, comme pour prouver ses dires, des bruits indistincts se faisaient entendre, venant de l’intérieur d’une voiture stationnée un peu loin. Je tendais un peu plus l’oreille. Percevant très nettement à présent, des soupirs, des halètements, puis une acclamation étouffée. Il y avait aussi une clameur plus forte et une exclamation explicite. Je n’y croyais pas, mes ...
    ... pensées s’entrechoquaient, mais rapidement après réflexion, je me disais que cela pouvait être une expérience aussi inédite, qu’excitante. Les jambes entrouvertes, le regard fixe, la bouche gonflée, la jeune femme se mettait doucement à rouler des hanches comme pour traduire, par ce geste, le motif des bruits venant de l’automobile. C’était à la fois délicieux et un peu frustrant. Elle se comportait à peu près comme une chatte en chaleur. Encore une fois si souple, qu’elle semblait ne pas avoir d’os. Soigneusement elle s’offrait une ouverture du côté de ma braguette pour y engouffrer sa main. Du bout de ses doigts experts, elle fit connaissance avec mon sexe éternellement bandé. Elle l’enserra dans sa main et comme elle l’aurait fait avec une laisse, me forçait à la suivre jusqu’à la fameuse voiture. Là, elle me poussa en arrière. Perdant l’équilibre, je m’affalais sur le capot. Après s’être agenouillée, elle se rua sur ma virilité. Qu’elle engloutissait avec une maestria révélant une grande habitude. Sur un rythme régulier, presque paisible, elle entreprenait de m’administrer une fellation passionnée. Sans se soucier le moins du monde de notre environnement. Son corps, tout en courbes, dégorgeait de sensualité. Ses longs va-et-vient me procuraient un désir infini. Je ne pensais plus à rien. J’avais l’impression de vivre un rêve éveillé. Ses lèvres plongeaient, puis revenaient en arrière, retroussées, tandis que sa langue parcourait l’extrémité de mon sexe avec le soin que ...