SUR LE CAPOT...
Datte: 02/04/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... mettait un enfant à lustrer un cornet de glace. Je me laissais consommer par cette délicieuse inconnue. Je m’abandonnais à cette volupté qui m’envahissait. Je n’éprouvais ni honte, ni pudeur. J’avais juste l’impression de m’offrir à un péché merveilleux. Lorsqu’elle sentait à mes coups de reins que j’étais au bord du plaisir, elle me laissait choir quelques instants, me regardait, puis entamait, toujours avec sa bouche, un long mouvement tournant, ce qui avait pour effet de m’occasionner un cri de plaisir. Avec une grande souplesse, elle avait grimpé sur le capot. Et se mit à dansé au-dessus de moi, alors que j’étais toujours sur le dos. Elle se posta sur mon ventre, me frôlant sans jamais vraiment me toucher. Puis se déplaça au-dessus de ma figure. Cuisses écartées, ventre projeté en avant. J’enfouis mon nez dans ses poils. La langue tirée au maximum, et lapant comme un animal son intimité. Elle se mit à grogner. Je l’avais agrippé par les chevilles pour la stabiliser. Laissant le reste du corps de la femme tanguait et roulait comme un bateau pris dans la tempête. Elle sentait fort la crevette, mêlée à la fournaise. Je léchais le clitoris à petits coups de langue circulaires. Les yeux hors de la tête, elle m’attrapa les oreilles et se mit à tirer comme pour m’enfoncer le visage encore plus profondément en elle. Puis elle se redressa avec la conscience du devoir accompli. Les soupirs continuaient de plus belle à l’intérieur du véhicule. Sautant avec souplesse sur ses talons, ...
... se postant à côté de la voiture aux vitres obscures. J’imaginais les occupants nous mâtaient plus que jamais. Ce jeu m’excitait de plus en plus. J’accolais mon inconnue, alors qu’elle glissait ses mains sous sa jupe. Son bassin mimait l’amour. Ses jambes frémissaient en rythme et son visage appelait le plaisir. La démonstration achevée sur son merveilleux abandon d’elle-même, elle retourna s’allonger sur le capot et m’invita de la prendre. J’étais, à cet instant, devenu complètement fou. Le con béait lascivement, luisant de mouille et de ma propre salive. Comme une large bouche rose et baveuse cernée de poils hérissés. J’avais pris le con dans ma main. Elle se laissa faire, comme une poupée dolente. Je le palpais avec une douce brutalité. Froissant pêle-mêle les muqueuses gluantes et les lèvres poilues. Du plat de la paume, je comprimais le clitoris. Le désir la submergea de nouveau. La voiture avait comme des sortes de tremblements. Les amis devaient bien s’amuser ! Puis une main sortait de la vitre entrouverte. Tenant du bout des doigts un petit sachet de couleur orange. Il s’agissait d’une capote dans son emballage. Je sortais le préservatif de son logement et le déroulais sur mon sexe. Elle fit oui de la tête, se tortillant ses fesses et son pubis de façon obscène. Je balayais du bout de mon gland la fente qui s’ouvrit comme une cicatrice mal refermée. Je faisais passer sa jambe droite par-dessus mon épaule du même côté. Je réalisais la même opération à sa jumelle. Peu à ...