Randonnée avec ma grande cousine infirmière (4)
Datte: 02/04/2018,
Catégories:
Erotique,
... le courage de sortir le ranimer. Je devine le corps de Jean près de moi. Il s’est retourné sur l’autre côté, mais nous sommes toujours dans notre « lit » commun. Mais je n’entends pas sa respiration, j’ai l’impression qu’il ne dort pas. J’entends un bruit de frottement de tissu, régulier… le tissu du sac de couchage je pense. J’ai l’impression que le sac vibre légèrement… Je me retourne vers Jean et viens me blottir contre lui, je passe mon bras gauche autour de sa taille. Je m’aperçois au contact entre ses fesses et mes cuisses qu’il ne porte plus de caleçon… ce qui confirme mon intuition sur l’origine de ces frottements… Mais Jean est immobile à présent, il n’ose plus bouger. J’approche mon visage de son cou, je dépose un baiser tendre dans le creux près de son épaule et lui glisse à l’oreille : - Tu peux continuer mon Jeannot. C’est naturel… il faut se soulager parfois… Je le fais aussi tu sais… tout le monde le fait…et ça me plaît que tu le fasses pour moi… Tu es beau mon Jeannot… Mais Jean ne bouge toujours pas et ne répond pas. Il est comme tétanisé. Je lui dépose à nouveau un puis deux baisers dans le cou… Ma main gauche remonte contre sa poitrine et je me serre très fortement contre lui. Mes cuisses se collent contre les siennes, mon pubis nu rencontre le sommet de ses deux adorables fesses d’homme-enfant… Comme il ne reprend toujours pas son va-et-vient, je descends progressivement la main vers son bas-ventre… Mes doigts rencontrent ses premiers poils pubiens, et ...
... le sommet de ma main frôle son membre dressé. Je décide de continuer ma descente. J’atteins le creux de l’aine, et de deux doigts seulement je m’aventure dans le pli le long de la base de son sexe et de ses bourses. Je les contourne, remonte de l’autre côté, passe sous son pénis, je fouraille gentiment dans les poils pubiens à la base de son sexe et je recommence… Pendant ce temps, je continue à embrasser tendrement le creux de sa nuque. Jean finit par lâcher un long soupir… Maintenant mon index remonte lentement sur ses bourses, dans le creux entre ses deux testicules… Mais sa main est descendue à la rencontre de la mienne et la saisit… « Cécile…. ma Cécile…. ma Cécile… tu me rends dingue…. non, arrête, continue… ma bite… » Je m’exécute avec empressement et saisis sa bite vigoureusement. Elle est tendue comme un arc. Je commence à l’astiquer lentement, je remonte jusqu’à son gland qui est déjà bien lubrifié, j’ai l’impression qu’il ne va pas tenir très longtemps. La main de Jean continue à caresser la mienne puis descend sur ses couilles, remonte, puis soudainement bifurque, passe dans son dos et plonge entre mes jambes ! Il introduit vivement deux doigts entre mes grandes lèvres, et s’enfonce rapidement depuis mon pubis vers mon vagin… Je ne peux retenir un petit cri. Je me mords les lèvres puis, tout en en soupirant, je chuchotte « Oh Jean ! Mon Jeannot ! Mon beau Jeannot ! oui... prends ma chatte… elle est à toi...prends-la…» Alors je ne sais pas ce qui me prend, je me ...