1. Randonnée avec ma grande cousine infirmière (4)


    Datte: 02/04/2018, Catégories: Erotique,

    ... relève, effectue un demi-tour sur moi-même et enjambe le corps de Jean, que j’allonge sur le dos. Accroupie au-dessus du torse de mon bel éphèbe, lui tournant le dos, je baisse ma tête à la rencontre de son sexe dressé… ********* Ma cousine est couchée sur mon torse, elle saisit ma queue d’une main et l’introduit dans sa bouche ! Son autre main malaxe doucement mes couilles ! Elle commence à aller et venir sur mon membre, l’enfonçant presque jusqu’au fond de sa gorge… Mon dieu ! C’est trop, je vais mourir !!! Mais non, elle ralentit, sa langue tourne autour de mon gland, puis elle ressort…me laissant souffler un peu. Dans cette position j’ai une pleine vue sur son cul et sa fente à quelques centimètres de mon visage. Même s’il n’y a pas beaucoup de lumière, je devine qu’elle est nettement plus ouverte que tout à l’heure. J’enfonce un de mes doigts dans cette faille béante, tandis que mon autre main saisit violemment sa fesse droite. Je découvre les petits plis très humides à l’intérieur de sa fente, qui me guident vers l’entrée de sa caverne secrète, où je glisse deux doigts. Elle est mouillée, ça glisse, et je découvre pour la première fois les replis intimes d’un vagin, le col légèrement rugueux, puis la caverne qui s’élargit, les parois plus lisses, et tout au fond un petit éperon mystérieux autour duquel mes deux doigts s’égarent, repartent vers l’entrée, explorent les côtés, puis reviennent. « Haaaan mon Jeannot….Qu’est-ce que tu me fais …. Tu es fou…, oh non c’est ...
    ... bon !!!! Prends moi le cul, mon Jeannot !!!!. Bouffe-moi…. » Elle a dit cela en inclinant légèrement les fesses vers mon visage. Je fais un effort pour soulever ma nuque et j’enfonce mon nez et ma bouche entre ses deux collines. Mon dieu, que j’aime cette odeur si forte, cette odeur de femme…. Je lèche son jus, j’enfonce mon nez entre ses fesses, presque sur son anus, je redescends doucement vers son pubis, je lèche abondamment tout le pourtour de son vagin puis ma langue rencontre un petit point dur et proéminent qui la fait tressaillir de tout son corps quand je passe dessus. C’est donc ça, le clitoris ? Je recommence à le lécher, lui donner des coups de langue de plus en plus violents, tandis que mes deux doigts fouillent toujours son vagin. Ma cousine crie à présent, à chaque coup de langue sur son petit bouton. Elle s’est redressée et ses mains pétrissent ses deux seins. Je continue comme un fou à la lécher partout, de la rondelle de son anus au clitoris. Son bassin bascule pour accompagner mon mouvement. Je mordille la peau de ses fesses, de ses cuisses, de son pubis, puis je lèche à nouveau, je suce, j’aspire… Mes doigts fouraillent de plus en plus violemment à l’intérieur de son vagin… Cécile se penche à nouveau sur mon sexe, l’avale goulûment, en lèche tout le pourtour, tout le gland, le pompe jusqu’à la base du pénis…. Elle glisse deux de ses doigts entre mes fesses, et les enfonce doucement dans mon cul ! Oh mon dieu, mon dieu, putain, c’est trop bon !!!!!!!! Alors que ...