Les réunion Parents-Profs ont parfois du bon...
Datte: 02/04/2018,
Catégories:
ff,
odeurs,
Masturbation
intermast,
Oral
initff,
... les yeux et gémit se laissant aller sur le dos. Sa poitrine était à moi et mes mains puis ma bouche lui rendirent hommage pour son plus grand plaisir. Elle ondula bientôt lorsque je découvris les caresses que sa poitrine très sensible adorait. Mes lèvres s’emparèrent de ses pointes dressées et ne les lâchèrent plus… À son tour, elle me demanda grâce, mais je voulus lui rendre la pareille… en mieux ! Bouche collée à sa poitrine, ma main glissa vers son string, mais je n’eus pas sa patience et lui ôtai délicatement pour la mettre entièrement nue. Voulant profiter du spectacle, je me reculai un instant pour mieux admirer le corps de cette brune que j’allais bientôt faire jouir. Me penchant pour reprendre son sein en bouche Marion repoussa doucement ma tête. — Lèche-moi, Maud… Un instant interdite par ce que je venais d’entendre, je compris que le moment était arrivé. Une femme me demandait de lécher son sexe, moi qui n’avais connu que mon goût sur mes doigts ou la bouche de mes amants. Le cœur battant, je pris donc la position classique du cunnilingus tant de fois exécutée par mes partenaires. Le cœur battant, je disposai ma tête entre ses cuisses et, après un dernier regard vers le beau visage de Maud qui les yeux fermés attendait cette offrande, j’approchai mon visage. Pour la première fois de ma vie, j’avais la bouche à proximité du pubis d’une autre femme… La première sensation fut la vue de son sexe : lèvres lisses, brillantes juste surmontées d’une toison brune rase. ...
... Puis son odeur de femme excitée ; odeur entêtante et excitante légèrement différente de la mienne. Et enfin son goût enivrant lorsque ma langue timide osa un contact qui déclencha le premier cri de Marion. Première caresse timide bientôt suivie d’autres, plus audacieuses, pour découvrir ce que la belle aimait. Langue large humide ou plus pointue, exploratrice, lèvres aspirantes ou légères sur son clitoris, je tentais de reproduire ce que j’appréciais moi-même dans ces attentions.A priori je devais y parvenir, car pour la première fois, je donnais du plaisir à une femme ! Quel sentiment unique de toute-puissance de maintenir Marion à la limite de l’orgasme juste avec le bout de ma langue. Je laissais la belle dans un état second, mais rapidement je sentis qu’elle n’allait pas tenir longtemps non plus et je m’appliquais à la faire gémir puis crier sans retenue, mélodie excitante s’il en était. Ses mains caressaient de concert ma tête blottie entre ses cuisses, accentuant ainsi la puissance de mes caresses. De mon côté, je sentais mon corps réagir à toutes ces sensations nouvelles : le goût de son miel, la douceur de ses lèvres, la rugosité de sa toison courte, mais aussi ses cris rauques me rendaient on ne peut plus fébrile et le corps frissonnant. Son bassin était agité de spasmes désordonnés que mes bras avaient du mal à retenir. Mais au rythme bien connu des sons féminins annonciateurs du plaisir, je compris que l’affaire n’était qu’une question de secondes et, plongeant ma ...