Révélations
Datte: 15/07/2017,
Catégories:
fff,
jeunes,
fépilée,
jardin,
Voyeur / Exhib / Nudisme
init,
... jambe levée, elle me murmure à l’oreille : — Tu es adorable, mais je te garde pour plus tard. Je vais me régaler, je n’ai jamais vu un aussi gros clitoris ! Elles me laissent frustrée au bord de l’orgasme, le sexe ouvert, enflé, mon intimité offerte aux caresses du vent. Je sens mon bouton continuer librement ses contractions. Je voudrais qu’elles « me finissent », j’en perds le peu de fierté qu’il me reste. Quelle honte de me laisser manipuler ainsi ! Céline recommence à m’embrasser les seins, dans le cou, de temps en temps elle caresse mon sexe. J’aperçois les garçons, les pantalons ont visiblement bien du mal à contenir leur sexe. — On n’en a pas encore fini. Et alors elle s’écarte et m’expose aux regards des garçons. De ma main droite je cherche à me protéger, mais aussitôt Anaïs s’en saisit ainsi que de la gauche et tout en maintenant mes mains rapprochées dans mon dos m’obligent à me cambrer. Les garçons fixent du regard mon sexe ouvert. Mon esprit crie pitié, n’ayant plus de petites lèvres, l’entrée de mon vagin est complètement exposée. Tant qu’elle tient ma jambe ainsi tendue, mon anatomie est offerte à leurs regards. Mortifiée, je ferme les yeux, je me concentre sur mes sensations, je sens mon plaisir monter. Je la sens passer dans mon dos, écarter encore ma jambe. Comme un maître de danse qui continue de me contraindre, elle me retient pour que je ne tombe pas et me dit : — Tu es très souple, ma chérie. Je t’assure que tu chauffes les garçons à blanc ! Tout en ...
... me mordillant le lobe de l’oreille, elle me maintient ainsi, les contractions redoublent. De sa main libre elle saisit mon clitoris et le fait glisser entre ses doigts, puis elle caresse l’entrée de mon vagin. L’orgasme vient, il est là, la vague de plaisir me submerge, je ne peux retenir le cri de plaisir conséquence de l’orgasme qui me déchire au plus profond. Les doigts abandonnent mon nid, j’ouvre les yeux et sous les applaudissements observe mon auditoire. — Tu vois, personne à part nous, personne n’a pu te voir. Lentement elle libère ma jambe, je suis épuisée, mon ventre est comme cisaillé. Je suis obligée de m’accroupir pour remettre ma chaussure. J’en profite pour observer mon entrejambe, mon clitoris, mes lèvres, tous sont enflés, rouges, injectés de sang. Une fois relevée, je tente refermer mon sexe, mais Anaïs et Céline de chaque côté me prennent les mains. Nous nous mettons en marche. Ils disent qu’ils sont mes « bodyguards ». La palissade ainsi formée m’empêche de voir. Je demande à Céline : — Où nous allons ? Elle me répond : — Au stade, on va courir. Le stade est à vingt minutes, en sens opposé de mon appartement. Je réfléchis à l’itinéraire et horreur, on va traverser les rues commerçantes, la place de la mairie, tout le centre-ville. Je demande l’heure : 9 h 15. Que se passe-t-il à 9 h 15 le samedi ? Le marché, c’est le lundi et le jeudi et, mis à part l’énorme agitation qu’occasionnent les commerces l’après-midi, je me dis que de ce côté-là, je peux être ...