Révélations
Datte: 15/07/2017,
Catégories:
fff,
jeunes,
fépilée,
jardin,
Voyeur / Exhib / Nudisme
init,
... tranquille. Je questionne un des garçons sur ce qu’ils veulent me faire, il me répond : — Rien de spécial, mais comme tu aimes te balader à poil, on va t’offrir une petite balade. Je leur explique que je ne suis pas exhibitionniste et ce qui m’est arrivé. Ils en rigolent. Ils sont sûrs que j’en suis une, sinon jamais je ne serais avec eux à marcher nue dans la rue. J’aurais tenté de m’enfuir, je ne me serais pas laissé donner du plaisir devant eux et je ne leur parlerais pas aussi tranquillement. Il en vient à me demander si je suis excitée par la situation. Il m’est impensable d’avouer que je mouille abondamment, que mes seins me font mal tant ils sont durs, que j’ai à nouveau envie de prendre du plaisir. Je lui réponds que je ne suis nullement excitée et qu’il me tarde de m’habiller. En pointant du doigt mon sexe, il me dit que ce n’est pas ce que je donne à voir. D’un rapide coup d’œil, je constate que le feu qui embrase mon sexe ne s’est pas calmé, mon clitoris restant au garde-à-vous. Je suis trahie par mon corps ! Céline en rajoute encore, elle me qualifie de « soumise ». Impossible, cela ne correspond pas à mon caractère. En revanche, pour l’exhibitionnisme ils n’ont pas tort. Je me laisse porter par mes pensées, je suis bien ! Je réalise pleinement ce qui se passe, je suis nue en pleine ville, en pleine journée. J’y avais déjà rêvé, juste en rêve ! L’émotion me submerge, je suis nue ! Je me le répète, je suis nue, oui je veux être vue, oui j’aime ça ! Ils ont promis ...
... de ne pas me toucher, malgré tout ils ne peuvent s’en empêcher, je sens les mains des garçons caresser mes fesses, mon dos, mes hanches, c’est tellement agréable que je les laisse faire. Les caresses arrêtées, je tourne la tête pour les encourager à continuer, ils ne sont plus là ! J’en fais part à Céline pour qui ce n’est pas grave, on ne me voit que de dos. Elle me rappelle qu’il y a peu, je me masturbais nue en pleine rue et juge donc ma remarque bien mal venue. Je ne peux lui avouer, mais je suis encore plus excitée ! Nous arrivons maintenant dans les rues piétonnes, des rues bordées de magasins de vêtements et de chaussures. J’ai mes habitudes dans de nombreux magasins et suis connue des commerçants. Très excitée, je continue à discuter avec Céline de sa prétendue « soumission ». Tout doucement elle me passe les mains dans le dos, je ne résiste pas, ainsi je me sens encore plus exposée. Tout en marchant, Céline recommence à me caresser, tout d’abord mon ventre puis mon sexe. Je lui demande de faire attention, mon clitoris étant extrêmement sensible. Un peu de salive et elle reprend ses caresses, je vais jouir en marchant. Elle s’arrête puis en souriant elle ordonne : — Les garçons, on ouvre. Soudain, la palissade qui me protège se disloque, mes bodyguards se dispersent me laissant exposée à la vue des passants et des commerçants. Je continue à avancer, face à moi des passants qui rigolent, les clients à la terrasse du café se lèvent et applaudissent. Mes jambes me portent ...