Ma mère au bois dormant
Datte: 15/07/2017,
Catégories:
Mature,
Hardcore,
Première fois
... dis bien un peu car l'essentiel de son indifférence subsistait.Elle plongea peu à peu dans la dépression, se laissa entraîner dans les eaux froides et noires de la déprime insondable. Elle pleurait du soir au matin, et était incapable de se rendre à son travail, au point que ses collègues s'en sont émus et sont venus à la maison.Ils ont pu constater le désastre et ils ont fait le nécessaire, appelant un docteur qui aussitôt mit maman sous anti-dépresseurs. Il lui a aussi donné toute une liste de médicaments, dont de puissants somnifères. Elle s'est empressée de s'en servir car elle était épuisée et elle voulait oublier sa condition de femme soudain seule dans la vie.Je me suis inquiété les premiers temps, car elle passait la nuit puis la journée à dormir. Je ne la voyais plus, partant le matin pour l'école sans l'avoir vue et rentrant le soir pour la trouver dans sa chambre affalée sur le lit et ronflant.Tout a commencé un soir où rentrant de l’école, je montais, comme je le faisais chaque jour, dans sa chambre afin de m’informer de sa santé. Je la trouvais, comme chaque soir, affalée en travers de son lit, profondément endormie. Un léger ronflement s’échappait de ses lèvres.Attristé devant pareil spectacle, je contemplais chagriné, ma mère abandonnée au sommeil chimique, à plat ventre sur le lit, les bras en croix. Pourquoi fallut-il que mon regard soit attiré par la robe de chambre légèrement entrouverte, qui de ce fait dévoilait une bonne partie de la cuisse ...
... blanche.Soudainement fasciné, c’était la première fois que je pouvais contempler une cuisse aussi largement dénudée, ailleurs qu’à la télévision, je fixais le tableau affriolant que ma mère m'offrait à son insu. Mais à fixer intensément cette chair blanche, j’ai senti un étrange picotement dans mon bas-ventre.La vue de la cuisse nue dévoilée presque jusqu'à la fesse, cette jambe fléchie au genou à angle droit, attirait instinctivement mon regard. Je ne pouvais détacher mes yeux de cette chair étalée sans pudeur devant moi. Terriblement perturbé, j’en oubliais que cette femme que je contemplais avec extase était ma propre mère.Soudainement, je dus me rendre à l’évidence : j’étais victime d’une indécente érection !… Je bandais ! Et l’objet de mon désir était ma mère !… Prenant conscience de cette inconvenance, je sentis le rouge me monter aux joues. Honteux de cette réaction épidermique i****tueuse, je détournais rapidement les yeux avant de faire demi-tour, laissant ma mère à ses rêves vénéneux.Pourtant dans ma chambre, attablé à mes devoirs, mon esprit me renvoyait sans cesse à la vision de cette cuisse à demi dénudée. Ce soir-là, j'eus un mal fou à faire mes devoirs, ma verge s’étant redressée dans la moiteur de mon slip m’empêchait de me concentrer sur ce que je faisais.Après en avoir terminé de mes divers travaux scolaires, je me suis rendu à la cuisine afin de trouver quelque chose à grignoter dans le frigo. Ma mère ayant abandonné depuis longtemps l’envie de faire la cuisine, je me ...