1. Ma mère au bois dormant


    Datte: 15/07/2017, Catégories: Mature, Hardcore, Première fois

    ... chaud! Comme c'était excitant, au point que bien vite des spasmes me sont venus. Affolé je me suis retiré bien vite, juste à temps pour recueillir dans ma serviette des jets puissants de sperme bien blanc qui par saccades inondait le linge cotonneux.Les yeux écarquillés, j'ai regardé ma queue luisante d'un liquide gras. J'ai passé mes doigts dessus et j'ai porté mes phalanges à mon nez, pas de doute, cette odeur était celle de la fente maternelle, j'avais pénétré maman! Ma queue était entrée en elle, je l'avais baisée et mon gland avait ramoné le passage par où j'étais venu au monde.Les cris et les baffes je connais! Des années que ça durait, que mon père et ma mère se tapaient dessus. C'était presque chaque soir, un rituel. Ils ne se supportaient plus, dès qu'ils se retrouvaient à la maison le pugilat commençait.De son regard haineux, ma mère enserrait mon père dans un filet de mépris dont celui-ci voulait se dépêtrer, mais il s'enferrait maladroitement, il gesticulait, il criait et finissait par lui foutre des baffes en désespoir de cause.Apeuré, je regardais tout ça depuis un coin du salon, me faisant le plus petit possible, évitant les coups et les objets les plus divers qui volaient tout autour. Je tachais de passer inaperçu et pourtant, parfois au plus fort de leurs disputes mes parents me prenaient à témoin.Là, c'était le pire, je risquais gros et même sans rien dire, j'en prenais parfois plein la gueule. Il suffisait d'un regard mal interprété, d'un geste mal ...
    ... maîtrisé et vlan ! Une tarte de l'un. L'autre lui répliquait en lui disant qu'il était dégueulasse de taper le « petit » et ça repartait dans l'autre sens alors que moi, accroupi derrière le canapé je massais ma joue en feu.Cela a duré des années !En grandissant, j’avais de plus en plus de mal à supporter cette ambiance familiale. Je n'en pouvais plus à la fin… Aussi quand mon père et ma mère se sont enfin mis d’accord pour divorcer, j'ai pris ça comme une délivrance pour nous trois. Bien sûr il y eut encore des cris et de la fureur pendant des mois mais je patientais sachant l'échéance proche.Je venais juste d’avoir dix-huit ans, quand un soir mon père n'est pas rentré.On a, ma mère et moi, compris alors qu'il ne rentrerait plus. Etonnement, alors qu’elle aurait du être soulagée, ma mère pleura toute la soirée et je crois bien qu'elle a pleuré toute la nuit. Le lendemain elle avait le visage tout bouffi tant les larmes avaient ruisselé sur ses joues.Je l'ai regardée avec un brin de pitié, bien que connaissant sa haine tenace pour mon père. Pourquoi pleurait-elle donc ? Sans doute pleurait-elle sur elle-même, sur sa vie brisée, égoïstement.Est-ce que je comptais pour elle ? Elle montrait une telle indifférence lors des scènes de ménage, excepté lorsque mon père me tapait dessus, que je n'arrivais pas à imaginer ne serait-ce qu'un peu de tendresse de sa part. Pourtant, dans les jours et les semaines qui suivirent le départ de mon père, les choses entre nous s'arrangèrent un peu. Je ...
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