A la découverte du plaisir 2
Datte: 04/04/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
La masturbation est pour moi comme une passion. Alors qu'à l'adolescence toutes les jeunes filles sont passionnées par les stars, moi j'étais passionnée par ce petit « bout de chair » qui me faisait frisonner. Je dévouais à ma princesse un véritable culte. Je passais des heures à me caresser. Je voulais tout connaître, tout savoir, j'étais avide de ce plaisir immense. A chaque jour son défi, je me masturbais debout, couchée, accroupie, dans toutes les positions possibles et imaginables. Je repoussais l'orgasme pour qu'il soit plus intense. Je me lançais des défis comme jouir en moins de deux minutes. J'adorais jouer aussi, à avoir le plus grand nombre d'orgasmes par jour et malgré ce que l'on pourrait croire, ce n'était pas facile. Un orgasme demande beaucoup d'énergie et dans mes débuts, j'étais si fatiguée que je m'endormais rapidement. Seule, je peux en avoir jusqu'à cinq par jour, pas plus, car ça me fatigue physiquement mais aussi cela perd de son charme. En revanche, avec un partenaire, je n'ai pas de limite. Rapidement, je savais utiliser ma princesse non plus comme la gamine que j'étais, mais comme une femme. Je savais contracter mon vagin, me mettre un doigt, puis deux, trois enfin jusqu'à quatre. Au-delà je n'y arrivais pas et il me fallait être très lubrifié pour arriver à me mettre les quatre. Heureusement, la lubrification n'est pas une denrée rare chez moi. Je savais ce que c'était de jouir avec mes doigts à l'intérieur. Sentir ma paroi vaginale durcir sous la ...
... pression des mouvements de mes doigts, se contracter, se serrer toujours plus pour enfin jouir en me donnant tout son jus. En parlant de jus, j'aimais tout particulièrement les fruits et légumes à cette époque ! Les carottes, concombres, bananes y sont passées, il faut dire que ma princesse avait un sacré appétit. J'aimais passer mes après-midi quand je n'avais pas cours devant mon ordinateur à regarder des films pornos, j'apprenais doucement mais surtout sûrement. J'étais curieuse de toutes nouvelles expériences. La sodomie était sans doute l'une des plus choquantes ! Olala quelle horreur c'était de voir ces verges disparaître dans ce trou qui s’apparentait pour moi à « un usage unique de sortie ». Je ne comprenais pas vraiment. Je n'appréciais pas particulièrement ce genre de films, je préférais les films Hard, mais sans sodomie. Dans ma soif de connaissances, j'ai tout de même décidé de me filer un petit doigt dans les fesses. Je n'ai pas eu mal, mais je n'y voyais aucun intérêt et l'exploration s'en arrêté là. Toutefois, comme vous pouvez le deviner les assaut de la puberté ne me lâchait pas. J'étais précoce, bien formée pour mon jeune âge. Et comme la nature fait bien les choses, je ressentais de plus en plus des attirances sexuelles, j'avais besoin de sexe, c'était presque une obsession. J'y pensais tout le temps, me masturbais partout où je le pouvais dans les toilettes, à l'école, chez des amies... Au point même où j'étais extrêmement attirée par un cousin du même âge. ...