1. A la découverte du plaisir 2


    Datte: 04/04/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... Je me souviens qu'en été on partait dormir chez une tante et on était plusieurs cousins à dormir dans la même chambre. Bien sûr, je m'arrangeais toujours pour ne pas dormir loin de lui, je le frôlais et même me masturbais à côté de lui alors que tout le monde dormait déjà. J’espérais toujours que la nuit il se réveille et qu'il me touche, qu'il y ait une attirance réciproque. Ce ne fut jamais le cas. J'étais bien plus précoce que lui. Et franchement ce n'est pas plus mal que rien ne soit jamais produit, car vive l'ambiance lors des réunions de famille. Malgré tout, j'étais une jolie jeune fille. Les propositions ne manquaient pas. On me voyait de moins en moins comme une enfant. Les regards se faisaient de plus en plus désireux. Néanmoins, j'étais une vraie petite romantique, il était hors de question qu'il y ait sexe sans amour de ma part, je voulais que les choses se fassent bien. Les mecs de mon âge étaient bien trop gamins. Je suis donc sorti avec un mec plus âgé de quelques années et j'étais complètement amoureuse ! On se voyait dès qu'on le pouvait, là où on pouvait à l'abri des regards. On s'embrassait les lèvres, le coup, la nuque. Il passait les mains sous mon tee-shirt sur mes seins bien ronds, s'amusait à me pincer les bouts, me les léchait délicatement, les suçait. J'étais novice par rapport à lui, mais je savais exactement quoi faire. Je grimpais sur lui, l’enlaçais et me frottais à lui. J'ondulais des hanches et je sentais sa verge bien dure à travers le ...
    ... pantalon. Rien qu'avec le mouvement de mes hanches, j'arrivais à le branler. Un jour alors que nous étions dans un immeuble à faire nos petites caresses habituelles, sous la pression des frottements de mes hanches, il m'a soulevé comme le poids plume que j'étais,a déboutonné mon jean. J'étais déjà toute trempée, il l'a sentie immédiatement, il a écarté mon slip et m'a mis un doigt. Mon premier doigt d'une personne autre que moi. Il ne s'est pas arrêté en si bon chemin, il m'en a mis un deuxième ! Je me souviens encore parfaitement de cette expression perverse qu'il avait dans le regard. Je gémissais, alors il m'a mis la main sur la bouche pour que les gens ne nous entendent pas. Il continuait d'aller et venir avec ses doigts à l'intérieur de ma princesse trempée et étroite. C'était bon si bon, je le suppliais du regard d’accélérer la cadence, d’aller plus fonds encore et encore, tellement qu'il est parvenu à me soulever du sol qu'avec ses deux doigts ! Jeunes et insouciants on ne s’est pas arrêté là. J'ai eu cette soudaine idée de monter dans l’ascenseur de l'immeuble où nous étions. Je voulais qu'il continue à me caresser là-dedans. C'était si bon, si dangereux que j'en avais des palpitations. J'avais chaud, j'avais la tête qui tournait. J'étais debout dans l’ascenseur m'accrochant de toutes mes forces aux remparts pendant que mon mec me fourrait bien profondément ses doigts dans ma chatte. Je gémissais tranquillement à l'intérieur de la cabine. Je ne pensais qu'à mon plaisir. ...