Révélations
Datte: 04/04/2018,
Catégories:
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vacances,
Voyeur / Exhib / Nudisme
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Nathalie, animatrice de colo en 1975, se trouve au cœur d’une mêlée érotico-amoureuse où les découvertes des plaisirs de la chair se mêlent avec celles de l’amour, dans une ambiance très « œcuménique ».Après toutes sortes d’expériences, elle recueille les confidences des unes et des autres.Dans le dernier épisode, elle passe son week-end de congé à Nice, entre filles, avec Sylvie, la femme du directeur. Vendredi, on s’en va ! La colo est finie. C’est toujours un moment dur. Quitter les gosses avec qui on a tissé des liens. Les autres monos, l’ambiance, changer de rythme… En ce qui nous concerne, il y aura toujours le souvenir de nos moments d’intimité hors du temps. Sur quoi cela débouchera-t-il ? Je ne sais pas. Tout ce que je sais, c’est que je vais vivre avec Corinne. On en a longuement reparlé toutes les deux. Mais je n’ai pas envie de rompre avec tous les autres, et notamment Héloïse et Sylvie. En rentrant de Nice, dans le train, avec Sylvie on a élaboré une dernière soirée coquine pour les « initiés ». On a passé en revue les autres membres de l’équipe et il nous est apparu que l’on n’avait pas envie de coopter quelqu’un d’autre (peur de choquer ? d’être mal perçues ?) Par contre, une petite soirée mercredi après l’extinction des feux et après un cinquième repas vite expédié… Pas le dernier soir, car cette soirée il faudra la passer avec les autres, et puis surveiller les éventuelles batailles au polochon de la dernière nuit. On s’est retrouvés vers 23 h dans les ...
... combles du bâtiment principal. En fait, avec Sylvie, on avait aménagé un peu la salle avec des matelas formant une grande couche, et quelques lumières indirectes. Le bar était fourni et c’est autour d’un verre de ti ‘punch qu’on s’est retrouvés, ne sachant plus comment commencer cette soirée alors qu’on savait pourtant comment la finir. Enfin, ils savaient, ou croyaient savoir, car Sylvie et moi avions eu quelques idées pour pimenter la chose. Nous en étions au deuxième verre quand Sylvie, au milieu de la pièce, laissa tomber sa robe de coton, la laissant aussi nue que belle. Tous les regards se tournèrent vers elle. Éric et Michel n’en perdaient pas une miette, eux qui étaient les seuls à ne l’avoir jamais vu nue. Pour enfoncer le clou, elle virevolta parmi les uns et les autres en se triturant les seins, obligeant les garçons à la regarder dans les yeux. Puis elle entreprit quelques mouvements de gymnastique qui, vu sa tenue, seraient proprement indécents s’ils avaient été pratiqués ailleurs que là. Elle s’exhibait complètement par de savants mouvements : un grand écart avec un pied sur l’épaule de l’un, une série de pompes les jambes écartées, une chandelle avec ciseaux. Bref, nous étions subjugués. La suite du scénario fit que je m’approchai d’elle, fit tomber ma propre robe et entamai avec elle la suite de cette chorégraphie pour initiés, n’hésitant pas à mettre nos corps au contact de l’autre, mais toujours sans les mains ni la bouche. Je regardai de temps en temps mes amis, ...