1. Tu l'as cherché 10


    Datte: 05/04/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Tu l’as cherché 10 Le soir même je m’appliquai à rendre mon époux absolument inapte à servir convenablement une concurrente. Si demain il se laissait tenter, il serait un amant lamentable et ridicule. Je le masturbai longuement, suçai plus longuement encore son membre turgescent, l’amenai à répandre à plusieurs reprises son sperme sur mon visage ou dans ma bouche et avalai démonstrativement ce nectar avec une gourmandise non feinte. Il en rit d‘abord, dut se forcer à me pénétrer ensuite à plusieurs reprises et après son assaut, je m’empalai sur son moyeu et le chevauchai hardiment. S’il réussissait à bander et à rassasier une amante après ce traitement, j’entrerais au couvent ! Au cours des soirées suivantes je lui administrai un traitement identique. Je revisitais l’Andromaque, l’éléphant, le loup, la chaise… Au petit matin j’étais à plat mais Alain avait triste mine. Son pénis fixait invariablement ses mocassins. Pourtant, un soir il tenta une esquive : sans doute avait-il été convoqué de façon pressante pour tenter sa chance en opposant à mes exigences d’épouse en forme la faiblesse d’un époux surmené. - Ma chérie ta superforme m’enchante. Cependant je reconnais que j’ai des défaillances et je suis très malheureux de ne pas être à la hauteur. Je me mis à rire : - Oh ! Pardon, je ne me rendais pas compte de ta fatigue. Mon pauvre chou. Effectivement, ce soir, malgré mon application, je dois constater que tu bandes mou. Ce ne peut-être qu’une fatigue passagère,. Excuse mon ...
    ... zèle et remettons à un autre jour ce que ta panne rend impossible ce soir. Mon rire accentua sa détresse. Il se montra confus, murmura des « pardon,… excuse,… je suis désolé… ». Le lendemain après-midi, un appel téléphonique direct l’amena à s’absenter. Doris, à l’affût, me fit signe, me traîna à sa voiture et suivit celle d’Alain. Il s’arrêta devant la garçonnière de son père. Je connaissais l’adresse pour l’avoir fréquentée lors de nos fiançailles. A peine sorti de l’auto, il fut assailli par une grande blonde qui l’enlaça et l’embrassa goulûment, sans gêne, là, sur le trottoir. Je me rendis à l‘évidence et Doris prit un air contrit pour dire :: - Alors, qu’est-ce que je te disais, ouvre les yeux. Tu la connais cette pouffiasse? - Bien sûr, c’est Martine, une de celles qui sont de toutes les fêtes ! Déjà d’une main leste Martine frottait la braguette d’Alain. Elle fut étonnée du peu de répondant de la verge, s’en étonna en fixant les yeux de mon mari. Alain haussa les épaules, l’air malheureux et résigné, dut entamer une explication. La fille le repoussa, rebroussa chemin. Mon idiot de mari la rattrapa, supplia et je l’entendis promettre : - Viens demain, je serai mieux. Ce soir là, il eut droit à double ration de caresses, de masturbation, à une fellation royale et dut cracher sa semence dans la capote anglaise que je lui imposai pour me protéger, au cas où il commettrait des écarts de conduite. Je prétextai cruellement ne pas vouloir accoucher d’un avorton procréé par un ...
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