1. Tu l'as cherché 10


    Datte: 05/04/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... avec une amie? Des relations saphiques entre femmes ne mettraient pas en danger l’avenir de notre couple. Tu nous observerais et cela t‘aiderais à retrouver des forces? Alain aurait-il eu vent de mes relations « limites » avec Doris, Jeanne ou Sophie ? Il s’amuse de ma supposition, trouve même à en plaisanter : - J’imagine ma petite femme chérie livrée aux appétits d’une lesbienne. Dans le fond, si ça peut résoudre notre problème, je me réjouirais d’assister à vos étreintes, c‘est vrai. Le spectacle me rendrait peut-être assez de vigueur pour me mêler à vos ébats. - Alors, qu’attendons-nous ? Dans la mesure où je suis intéressée de près à l’affaire, je veux pouvoir choisir ma partenaire. Tope là, mon ami voyeur. Je te promets un prompt rétablissement. J’organiserai des parties formidables, j’abattrai les limites de ma pudeur, je serai gouine jusqu’au bout des ongles pour l’amour de toi - Tu aurais quelque personne en vue ? Une femme ? Tu m’étonnes, toi si pleine de retenue d’ordinaire devant les tiers; mais voyons. - Il me faudrait obtenir l’accord d’une personne que tu connais, une jeune femme que j’ai remarquée plusieurs fois dans nos fêtes et pour laquelle j’éprouve une attirance physique assez forte. Elle est grande, elle est blonde, elle a des yeux bleu layette, elle projette devant elle des seins provocants, elle sait mettre en évidence en la remuant adroitement une croupe prononcée, elle porte des robes courtes pour étaler de longues jambes et elle sait se montrer ...
    ... volontiers aguicheuse, parfois elle frise une certaine vulgarité C‘est pour cela que je la sens vulnérable et que je vois en elle l‘amante idéale. Merci de me donner cette occasion de la conquérir. - Hum, tu me mets l’eau à la bouche. Qui est cette merveille qui pourrait te permettre d’être heureuse en attendant mon retour à de meilleures dispositions ? Pleine d’audace je provoque Alain en annonçant que je pourrais m’ébattre avec celle qui le poursuit depuis un certain temps. - Elle se prénomme Martine. Qu’en penses-tu ? N’ai-je pas bon goût lorsque tu me pousses à m’encanailler Alain blêmit, j’ai frappé où cela fait mal, aux couilles. Sa Martine, celle dont il vient de s’enticher, celle qu’il ne réussit plus à baiser en cachette, celle qu’il n’a pas eu le courage de faire entrer dans la garçonnière de peur d’un échec lamentable : Je voudrais lui voler sa proie. Le ciel lui tombe sur la tête ! Il devrait la partager avec moi, il devrait assister à nos ébats; c’est un comble. Mon offre le désarçonne J’ai là une idée diabolique inacceptable pour un amant, d’autant plus qu’il ne peut pas me révéler sa liaison avec Martine. De plus j’ai forcé le trait, appuyé sur des travers de l’élue du moment. Le père de mon mari, je m’en souviens a trompé sa mère, je ne me laisserai pas humilier comme elle. Donc je cogne. Il recule, c’est compréhensible. Il repousse ce projet : - Ah ! Non. Je ne voudrais pas te décevoir. Non, cette fille ne te conviendra pas. Sa vulgarité te choquera. Elle est ...