1. Je suis un boudin, et j'aime le sperme… (2)


    Datte: 07/04/2018, Catégories: Trash,

    Bon, puisque vous avez aimé ce que je vous ai raconté au sujet de ma découverte du goût du sperme et comment j’ai su tout de suite que j’allais devenir accro à cette substance gluante, je vais vous dire ce qu’il s’est passé après. Je vous rappelle que j’avais découvert sur Internet qu’il y a dans la ville voisine, à 8 kilomètres de la ferme, un établissement libertin équipé de glory holes ; de plus, le 31 octobre, il y avait une soirée spéciale Halloween. Pour moi, c’était l’occasion de pouvoir y aller sans me faire reconnaître et ne pas faire peur aux gens : n’oubliez pas que je suis hideuse avec ma graisse qui déborde de partout, mes joues bouffies envahies d’acné qui encadrent un nez qui ressemble à une patate, mes yeux chassieux rapprochés et qui louchent, et que de plus je suis affligée d’un bec-de-lièvre. J’ai trouvé une solution : je me suis fait un masque en évidant une grosse citrouille et en creusant tout ce qu’il faut : des yeux pour voir, des narines pour respirer, et bien entendu une bouche, parce que mon but, c’était de pouvoir sucer des queues. Le soir venu, j’ai passé une robe longue très large, j’ai fixé ma citrouille avec des tendeurs sur le porte-bagages de mon vélo, et vogue la galère ! J’ai pédalé pendant presque une demi-heure, et c’est bien essoufflée que je suis arrivée sur le parking de « La Sucette » (c’est le nom de la boîte à partouzes). Je me suis cachée dans un coin sombre pour mettre mon masque, mais c’est à ce moment-là que j’ai vu des ...
    ... clients passer à côté de moi. Eh bien, vous me croirez si vous voulez, mais ils étaient maquillés d’une manière tellement horrible qu’ils m’ont presque fait peur. Du coup, je me suis dit que ce n’était pas la peine que je mette ma citrouille, et je les ai suivis. Quand j’ai voulu payer mon entrée, la dame derrière la caisse m’a dit que c’était gratuit pour les dames ; elle m’a même donné un bon pour une consommation gratuite, génial ! C’est vrai que je n’ai pas beaucoup d’argent, vu ce que mes parents me donnent pour garder les vaches. Bon, enfin, je n’étais pas là pour boire du champagne, mais plutôt du bon sperme. À l’intérieur de la boîte, c’était vachement sombre, mais pas assez pour que les gens me voient. Il y en avait beaucoup qui se sont retournés sur moi et qui m’ont félicitée pour mon maquillage ! Les pauvres, s’ils avaient su que ce n’était pas un maquillage, mais ma vraie tronche… Au fond du dancing, il y avait une porte. J’ai vu des gens qui passaient par là, alors je me suis dit que c’était peut-être à cet endroit qu’il y avait ces fameux glory holes. Ben, je me suis pas trompée : c’était bien là. J’ai vu des hommes qui s’appuyaient contre une cloison où il y avait des trous. J’ai remarqué une porte qui donnait accès à des cabines ; elles étaient presque toutes fermées, mais j’en ai trouvé une qui était libre et où je me suis enfermée. J’y étais enfin : à moi les belles queues ! Je me suis agenouillée sur un coussin juste derrière le trou et j’ai attendu. Oh, pas ...
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