Je suis un boudin, et j'aime le sperme… (2)
Datte: 07/04/2018,
Catégories:
Trash,
... longtemps : j’ai entendu le bruit du zip d’une braguette, et ma première queue est apparue… une queue rien que pour moi ! Bon, c’était pas un monstre, surtout qu’elle ne bandait pas ; c’était juste un petit machin tout riquiqui qui pendait lamentablement. Je me suis dit qu’il faut bien un début à tout, alors j’ai commencé à la tripatouiller comme j’avais vu dans les clips sur Youporn. Elle a pris de la consistance et s’est un peu redressée ; du coup, j’ai commencé à lécher le gland. Hmmm, c’était doux comme du velours ! Alors j’ai ouvert mes lèvres pour lui laisser le passage et je me suis retrouvée avec une bite dans ma bouche. J’ai fait glisser mes lèvres le long de cette tige qui prenait de l’ampleur, et quand je faisais reculer mes lèvres, je gardais le gland dans ma bouche et je le caressais avec ma langue, sans oublier le frein. Hé, mais c’est que j’ai de l’expérience, moi : j’ai tout appris sur Youporn ! Bon, je ne connais que la théorie, mais je l’appliquais ; la pratique, je comptais bien sur cette soirée pour l’affiner. J’entendais le type pousser des gémissements de l’autre côté de la mince paroi, et je sentais que sa queue tressautait dans ma bouche et que son gland gonflait encore ; c’est alors que j’ai reçu une grosse giclée au fond du gosier, suivie d’autres alors que le mec poussait de grands cris, un peu comme ceux du cochon qu’on égorge chaque année à la ferme. D’autres jets de sperme m’ont envahi la bouche ; il y en avait tellement que j’ai failli ...
... m’étouffer, mais j’ai continué à sucer jusqu’à ce que le type arrête de gueuler. Quand il a repris son souffle, je l’ai entendu dire aux autres : — Putain, qu’est-ce qu’elle suce bien, la salope ! Une vraie pipeuse ; c’est Pipator ! — Pipator, Pipator, Pipator ! se sont écriés les autres. J’étais vraiment fière de moi : mes talents de suceuse étaient reconnus. J’étais aux anges, surtout en me délectant de la matière gluante que j’avais gardée dans ma bouche et que j’avalais petit à petit pour faire durer le plaisir. Hmmm, que c’était bon ! Je sentais ma grosse chatte poilue s’épanouir entre mes cuisses et des filets de mouille s’en échapper. Qu’est-ce que j’étais excitée ! Mais on se pressait, de l’autre côté du trou, et j’entendis plusieurs voix s’écrier : — Moi aussi, je veux me faire sucer par Pipator ! — Hé, poussez pas ! Moi d’abord ! C’est là que j’ai vue une autre queue s’introduire dans le trou. Elle était déjà bien bandée, celle-là, de couleur sombre, et elle n’avait pas de peau sur le gland, comme beaucoup d’acteurs américains que j’avais vus sur Youporn. « Comment ça s’appelle, déjà ? » me suis-je demandé. « Ah oui, citron exquis… euh… con sert qui… sire qu’on serre… Ah non : cirque assis ! » Alors c’est sans hésitation que j’ai entouré ce beau gland de mes lèvres. Le gars a poussé un soupir de satisfaction quand j’ai commence à coulisser le long de cette hampe vigoureuse parcourue de grosses veines et légèrement arquée vers le haut : une belle bite, quoi ! Et puis, il faut ...