A l'armée (1)
Datte: 07/04/2018,
Catégories:
Gay
Ça fait trois jours que je suis incorporé. Je m’appelle Jean, et fais partie d’un groupe de dix soldats, sous le commandement du sergent Marc. Nous dormons dans le même baraquement. Le soir, en me déshabillant, j’ai surpris des coups d’œil furtifs vers les parties les plus intimes de mon anatomie. Ça m’a fait rigoler et plus ou moins bander. Il y a quelques années que j’ai pris conscience de mon attirance envers les mecs. J’ai eu quelques séances d’attouchements dans des toilettes publiques, et deux fois, je me suis laissé entraîner par des hommes, dans la quarantaine, dans leur voiture. Ils m’ont conduit hors de la ville, dans un petit bois et à chaque fois, les rapports ont été plus poussés. Les deux fois, ils m’ont enculé. Malgré un peu de douleur lié au dépucelage, j’ai pris conscience que j’adorais ça. La journée a été épuisante aujourd’hui : corvées, marche à pied, crapahutages. En fin d’après-midi, nous nous retrouvons sous les douches collectives, sous la surveillance du sergent. Mon voisin, un nommé Joël, un petit blond un peu grassouillet, se savonne copieusement. Je ne peux m’empêcher de mater son cul, tout blanc et bien rebondi. Je sens qu’il s’est aperçu de mon regard. Il me tourne le dos, et saisissant son savon, il le fait aller et venir dans la raie entre ses fesses. Puis, il se tourne vers moi. Comme moi, il a la bite à moitié bandée, et il me fait un clin d’œil complice. Je jette un œil vers le sergent, qui me semble n’avoir rien remarqué. Au sortir de la ...
... douche, nous avons une heure de repos. Je vois Joël se diriger vers moi : — Je t’ai vu me mater le cul sous la douche, il te plait ? — Ouais, il est pas mal. — Suis-moi, tu vas pouvoir mieux en profiter. A l’écart des baraquements que nous occupons, se trouve un bâtiment vétuste, qui n’est plus utilisé que comme entrepôt. Joël se faufile dedans et je le suis. Il me tourne le dos, baisse froc et slip, et se penche en avant, mains aux genoux, et jambes écartées. L’invite est évidente ! Je sors ma queue que je lubrifie d’un peu de salive, et la présente contre son trou du cul. Putain, ça rentrait comme dans du beurre ! Je me mets à le besogner sans autre forme de procès, quand j’entends la voix du sergent derrière moi. — Alors, les jeunots, on prend du bon temps ? Ne vous gênez pas pour moi, j’aime bien voir ce genre de spectacle ! Un peu gêné, tout de même, je reprends mon enculade. Dans le feu de l’action, mon pantalon et slip ont glissé à mi-cuisses, et j’ai le cul à l’air. Je sens bien vite la main du sergent sur mon cul. Du plat de la main, il me caresse la raie. Puis, je le vois, du coin de l’œil, se mouiller un doigt de salive. Le doigt trouve vite ma rondelle et s’y insère. Le doigt commence à faire des va-et-vient dans le fourreau de mon cul. Ça m’excitait beaucoup d’enculer, Joël, et le doigt du sergent travaillant mon cul augmentait mon plaisir. Je n’y tiens plus et décharge. Le sergent retire son doigt, et s’en va avec un petit rire. Après le repas, nous avons encore ...