1. A l'armée (1)


    Datte: 07/04/2018, Catégories: Gay

    ... rivière. Le sergent nous ordonne ensuite de traverser la rivière, mais sans mouiller notre uniforme. Nous devons donc nous déshabiller complètement, et traverser la rivière, nos affaires sur la tête. Le sergent s’allonge dans l’herbe, sort son portable et filme le déshabillage, puis la traversée. La rivière est peu profonde, et nous n’avons de l’eau qu’à mi-cuisses. Le sergent a donc une jolie brochette de culs de jeunes mâles à filmer. Au retour, nous exposons nos parties viriles. Certains ne peuvent s’empêcher de bander. Le sergent sourit, sort sa queue et se branle doucement. Une fois séchés et rhabillés, le sergent nous divise en deux groupes, et nous envoie dans la forêt, avec pour mission de ramener un prisonnier du groupe adverse. Il nous attend, assis sur un gros tronc d’arbre. C’est mon groupe qui lui ramène un prisonnier. Le sergent le fait coucher en travers de l’arbre, et le déculotte. Bien sûr, Joël se précipite pour lui écarter les fesses. Le sergent le lubrifie copieusement, et chacun des vainqueurs a le droit de le baiser. Très ancienne coutume militaire : enculer un prisonnier pour l’humilier. De retour au camp, le sergent m’intime, d’un signe de tête de le suivre dans l’ancien baraquement. Il entre dans une pièce, et me demande d’attendre dehors. Puis, il m’appelle. J’entre pour le découvrir, à poil, allongé sur une table, genoux sous les mentons, ...
    ... cul au ras du bord de la table, écartant ses fesses avec ses mains. Première vision de son trou du cul, dégoulinant de lubrifiant. J’insère un doigt. Il est très souple, signe d’une pratique régulière de la sodomie. J’entre ma bite. Le souvenir de tout ce que ce cochon nous a imposé me fait le baiser « très virilement ». Il apprécie visiblement car il pousse des gémissements de plaisir. Pendant que je l’encule, il se branle d’une main et nous jouissons ensemble. Le soir, au dortoir, je repense à son cul. Je me lève et vais dans son lit. Il m’accueille volontiers. Tous mes camarades se regroupent autour de nous. Ce n’est pas tous les jours qu’on peut voir le sergent se faire défoncer le cul ! Je le bascule à plat ventre. Il écarte les cuisses pour mieux s’offrir. Je me dresse au-dessus de lui, appuyé sur mes bras, la lui met bien à fond, puis la retire complètement, puis la lui remet, ainsi de suite. Il pousse des grognements appréciateurs. Mes camarades se branlent. Je fais durer pour qu’ils aient le temps d’éjaculer, et m’effondre sur lui pour dégorger mon sperme dans son cul. Je regagne mon lit. Je suis rêveur. En à peine quarante-huit heures j’ai enculé Joël et le commandant, me suis fait baiser, me suis livré à des attouchements lascifs et pervers de la part de mes camarades, et leur ai rendu la pareille. Cette période sous les drapeaux s’annonçait très chaude ! Fin 
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