1. Pierre en mission


    Datte: 07/04/2018, Catégories: h, hh, extracon, Collègues / Travail bateau, hsoumis, hdomine, contrainte, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Masturbation massage, Oral hsodo, sm, fouetfesse,

    ... extrasensible dans le poste de garde. Il m’envoie de temps en temps une copie des cassettes les plus « typiques » de la nature humaine… Tu vois, la tienne était assez typique. C’est quand je t’ai vu te caresser, ce midi, que je me suis souvenu de cette cassette… Je suis physionomiste, non ? Je comprends à cet instant que toute révolte est désormais interdite, je suis à lui, il me tient… et si d’autres avaient vu cette cassette ? Comme s’il lisait dans mes pensées, mon Maître me dit : — C’est un secret entre toi et moi. Personne n’a vu cette cassette ni ne la verra, cela ne tient qu’à toi… Passons aux choses sérieuses… Avant de prendre ma douche, je veux que tu me lèches comme une chienne lèche ses petits…Commence par les pieds et remonte vers la tête… Je me saisis de ses pieds et me mets à les lécher, ma langue s’appliquant à n’oublier aucun interstice des orteils. Puis je remonte sur les jambes velues, une odeur âcre s’en dégage et ma langue prend un goût salé. J’arrive aux cuisses vigoureuses et me permets de regarder mon Maître. Ses yeux sont fermés et son visage détendu me montre qu’il apprécie. J’ai devant moi maintenant ce sexe lourd dont j’ai tant envie. Je commence par l’extrémité du gland, une odeur d’urine emplit mes narines, je remonte sur la verge mais n’ose la prendre en main. Je m’attarde un instant sur le côté des bourses que je devine bien remplies. Je suis sur son abdomen, ma langue s’insinue dans le nombril, je parcours le thorax en insistant sur les ...
    ... tétons. Mon Maître lève les bras, une odeur de musc titille mes narines, je lèche comme un fou les aisselles comme si, en m’imprégnant de leur odeur, je fusionnai avec mon Maître. Sa respiration, mais surtout l’érection de son membre, m’indiquent que je le satisfais. Puis ma bouche aspire chacun des pores de son visage. — C’est bien. Le dos, maintenant, à l’envers, du haut vers le bas. Je m’attaque à sa nuque, descends le long de la colonne vertébrale, m’arrêtant au passage sur les épaules. Ma bouche est de plus en plus avide de ce corps, elle mordille les fesses puissantes puis la langue s’égare entre les lobes et cherche à percer l’œillet foncé. Une main m’arrête dans cette course. — Ça suffit. Suce-moi. Mon Maître se retourne, la hampe fièrement dressée. J’ouvre la bouche aussi grande que je le peux. Elle s’empare enfin de l’engin. Les mouvements de mon Maître m’indique le plaisir qu’il prend, il les accélère, sans se soucier du mal que ma gorge a à avaler ce vit. Il s’immobilise soudain et crache sa semence que je ne peux qu’avaler. La bête s’amollit, mais mon Maître retient ma tête. — Nettoie-la bien. Je lèche et re-lèche la verge, la nettoyant avec minutie. Ma langue s’attarde sur le méat. — C’est bien, t’es une bonne chienne, va coucher maintenant. Tête basse, je me dirige vers mon lit et me mets en chien de fusil. Mon Maître se dirige vers la douche, en ressort peu de temps après et se couche. Je m’endors heureux : mon Maître a l’air content… — Réveille-toi, il est 6 heures ...
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