Annabelle raconte : cinéma X
Datte: 08/04/2018,
Catégories:
Anal
Partouze / Groupe
Mature,
Je m’appelle Annabelle, j’ai 30 ans, je suis assistante sociale, mariée depuis 8 ans, deux enfants, je suis à Paris en stage pour une semaine.Je suis plutôt bien foutue, 1m65, de longs cheveux châtain clair, une poitrine aguichante, j’adore voir les hommes se retourner sur mon passage, je porte une robe blanche évasée et des hauts talons, j’aime le mouvement de cette robe qui suit le déhanchement, mon mari appelle cela : onduler des roucouleuses !Nous sommes dans les années 70, je suis très curieuse des « choses » du sexe et justement, en cette année 1972, c’est la déferlante des films X ; je me dis qu’il faut que je m’instruise et en plein après-midi de cette belle journée d’été, je vais faire ce que je ne peux pas faire dans ma petite ville où tout le monde se connaît, ici tout m’est permis… je me décide à franchir le pas et à rentrer dans un de ces cinémas spécialisés.C’est un cinéma permanent, le film est donc commencé, sur l’écran une fille au minou complètement rasé se fait lécher par un mec qui bande comme un taureau ; ça me donne des idées, je n’avais jamais pensé que l’on pouvait se raser le minou et je me demande ce que dirait mon mari si je reviens de Paris comme une petite fille…Il n’y a pas beaucoup de monde dans la salle et je m’installe vers le fond dans une rangée où il n’y a personne ; la lumière se rallume quelques minutes, le temps que le film soit recadré et c’est reparti ; j’ai eu le temps de voir que je suis la seule femme présente dans la salle, j’ai ...
... également été repérée, des spectateurs changent de place, j’ai maintenant un homme d chaque côté et je sens derrière le souffle d’un ou plusieurs autres.Mes voisins ont sorti leur sexe et se masturbent tranquillement sans se cacher, j’ai envie de partir mais je reste sans savoir pourquoi. Des genoux viennent se coller sur les miens, je ne réagis pas, mais lorsque mon voisin de gauche plaque sa main sur un sein, je le repousse violemment, il att**** ma main et la pose sur son sexe, je la retire comme si je m’étais brûlée. Mon voisin de droite a posé sa main sur ma cuisse, j’essaie également de le dégager ; j’ai compris, je m’en vais.Malheureusement alors que j’essaie de me lever, je sens que mes longs cheveux sont retenus par derrière, je suis prisonnière sur mon siège et inutile de crier, personne ne m’entendra avec les cris de plaisir et les ahanements du film.Celui qui me maintient les cheveux passe maintenant une main dans l’échancrure de la robe, je ne porte dessous qu’un soutien-gorge et un mini slip. Il a investi le soutien-gorge et me caresse le sein, il s’empare du téton et commence à le pincer, c’est immédiat, j’ai beau me tortiller pour essayer vainement de lui échapper, je suis extrêmement sensible de la poitrine, je le sens durcir et l’autre prend le même chemin.Pendant que je suis occupé à dégager l’étage supérieur, mes voisins ne sont pas restés inactifs, je suis troussée jusqu'à la taille et j’ai beau serrer les cuisses, j’ai au moins un doigt dans le slip et à ...