Annabelle raconte : cinéma X
Datte: 08/04/2018,
Catégories:
Anal
Partouze / Groupe
Mature,
... défaut de rentrer, il a trouvé l'emplacement du clitoris, je le sens sortir de son capuchon mon corps me trahit, je mouille abondamment et inconsciemment, j’ouvre les jambes en essayant comme je peux de retenir un petit grognement de plaisir.Aussitôt c’est la curée, maintenant que j’ai les jambes ouvertes et que le passage est lubrifié, ils ne se privent pas de me masturber, mon bassin se tend, je m’arcboute, j’offre mon sexe à leurs mains avides, je suis complètement écroulée sur le siège, je jouis en permanence, je m’entends crier mais je ne peux pas me retenir, je n’ai même pas fait attention que celui qui s’occupait de la poitrine a carrément dénudé le haut, j’ai les seins à l’air, la robe remontée jusqu’en haut des cuisses, je sens que l’on essaie de m’enlever le slip, dernier rempart de ma pudeur, je ne résiste pas, je me soulève pour qu’ils ne l’arrachent pas, je branle les sexes des voisins, il y en a un qui jouit, j’ai la main toute poisseuse, l’autre se lève devant moi, il m’att**** par les jambes, me soulève et me baise, j’ai enfin ce que j’attendais, une queue dans le vagin, il se déverse très vite, il se dégage, un autre vient prendre sa place, j’entends une voix derrière :- Retourne la !Je me retrouve basculée sur le siège, les seins pendants de l’autre côté du dossier tandis qu’une main m’ouvre la bouche et qu’un sexe énorme en prend possession, je fais une fellation pendant que je suis baisée en levrette. Dès que l'un se retire après avoir explosé, un ...
... autre prend sa place, tout le cinéma doit être regroupé autour de moi.Soudain une douleur atroce, il y en a un qui me sodomise, j’essaie de me dégager mais il me tient par les cuisses et ne lâche pas jusqu’à ce qu’il ait éjaculé dans mon cul.Cette douleur m’a dégrisée, je ne me laisse plus faire, de toutes façons, comme ils ont eu leur compte, ils ne cherchent plus à me retenir, je quitte le cinéma en abandonnant mon slip sur le champ de bataille. Je fuis tout en réajustant le haut. Je pue le foutre, j’ai du sperme sur la figure dans les cheveux, j’ai les jambes poisseuses, la robe souillée, je me précipite vers le métro pour rejoindre mon hôtel.En plus le métro est bondé, je suis écrasée entre la barre verticale et un mec qui me colle ; il a dû sentir, dans tous les sens du mot, que je n’avais pas de culotte, je perçois une main exploratrice.Non merci j’ai amplement donné, je descends au premier arrêt et je prends la rame suivante, il m’a suivi ce con !Dès que je remonte dans le métro, il me recolle avec un air faussement innocent, cette fois la moutarde me monte au nez, j’att**** sa main, je soulève ma robe et je colle sa main sur mon sexe toujours dégoulinant au point de laisser des traces à terre partout où je passe.Il la retire poisseuse, complètement dégoûté, il l’essuie sur ma robe qui n’en demandait pas tant et disparaît dès la prochaine station.Je peux enfin, sans me faire remarquer, me glisser jusquà ma chambre, m’enfermer et prendre une longue, très longue douche.Le ...