Eveil au coït
Datte: 15/07/2017,
Catégories:
h,
fh,
jeunes,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
init,
... jouir, comme un voyeur absent. Ces scénarii étaient très efficaces : ils me permettaient d’atteindre des orgasmes d’une rare intensité, à un point tel qu’un jour, mon frère qui occupait la chambre voisine m’entendit même exprimer mon contentement de façon très sonore ! Bref, Lise me faisait fantasmer et, au-delà de nos simples conversations, nous partagions une intimité innocente, amicale et sincère. Innocente, je le croyais très fort au début. Puis je me demandai un jour pourquoi Lise me faisait partager des choses qui, en fin de compte, ne regardaient que son ami et elle. Voulait-elle me faire fantasmer ? Me provoquer ? Dans quel but ? Pour sortir avec moi ? Et Marc ?… Voulait-elle « simplement » me dépuceler ? Plusieurs épisodes troublants m’apportèrent des débuts de réponse. Un jour, nous étions chez elle, pour une soirée organisée avec d’autres amis communs. Après le repas, pour une raison dont je ne me souviens pas, nous manquions de chaise pour nous installer dans le salon. Lise s’était alors assise sur mes jambes. Il faut préciser que c’était l’été, que j’étais en bermuda et elle en courte jupe. Elle était restée un bon quart d’heure sur mes jambes, ou plutôt sur ma jambe gauche : en effet ; elle s’était installée sur ma cuisse, l’enserrant de ses deux jambes. Ce qui avait attiré mon attention, c’était le mouvement qui me paraissait de prime abord involontaire, la pression exercée sur ma cuisse par les siennes. De temps à autre, imperceptiblement, je sentais le tissu ...
... de son slip frotter légèrement sur le dessus de ma cuisse. Ce petit mouvement, irrégulier, me fit palpiter le cœur et me rendit tout d’un coup fort gaillard. L’air de rien, j’essayais de temps à autre de relever ma jambe, comme pour augmenter la pression sur son entrejambe. Mais j’étais loin d’être certain d’un quelconque résultat ! J’eus durant un court instant la pulsion de lui maintenir les hanches de mes mains afin de lui imposer moi-même ce frottement ! Mais je n’allai pas au bout de cette folie. Ma conscience trop morale et trop rigoureuse me l’interdit ! Il était impossible qu’un quelconque geste de mes mains se dirige vers elle, devant tous, comme cela !… Je rusai en me penchant en avant pour prendre, sur la table basse, un verre de vodka. Avec le mouvement de ma jambe, je sentis nettement les cuisses de Lise se resserrer sur la mienne, l’agripper même, pour en suivre la pente. Je repris ma position sur la chaise, un peu plus de sueur au front peut-être. Je me sentais excité. J’accentuai alors les mouvements de bas en haut de ma jambe, afin de provoquer une réaction – mais laquelle ?? – de la part de mon amie. Elle ne se fit pas attendre : ses jambes arrêtèrent leur pression et je la sentis s’appuyer davantage sur moi. Elle se pencha en avant pour saisir un verre et recula sur ma jambe de plusieurs centimètres, faisant d’autant glisser son slip sur ma peau. — Oh là ! Ne tombe pas ! lui dis-je alors en lui saisissant des deux mains les hanches pour ne pas qu’elle perde ...