1. Eveil au coït


    Datte: 15/07/2017, Catégories: h, fh, jeunes, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation init,

    ... l’équilibre. J’exerçai enfin la pression tant désirée, ses fesses tout près de mon aine. Je crois qu’elle le sentit. Je le crois seulement, car nous n’en avons jamais parlé par la suite. Elle se leva quelques instants après, me laissant là, l’esprit vagabond, le sexe réveillé et la cuisse humide. Un autre épisode, qui fut peut-être à l’origine de beaucoup de choses. Nous étions à la piscine municipale. Une piscine en plein air, avec les plages bondées. Grand soleil, lunettes de soleil, crème à bronzer. Très pratiques, les lunettes noires : on regarde un peu ce qu’on veut sans que cela ne se voie trop. Moi, je jetais des longs coups d’œil sur la poitrine, à l’air libre, de Lise. Des seins lourds, mats et généreux aux tétons larges et proéminents. Et mes yeux glissaient irrémédiablement le long de son corps pour s’arrêter sur son slip de bain, à travers le tissu duquel j’essayais de deviner les reliefs dessinés par son sexe. J’ai cru plusieurs fois les apercevoir. J’étais à chaque nouveau coup d’œil davantage ému ! Mais je me rendis bien vite compte qu’elle faisait de même. Mon excitation en prit un coup : que regardait-elle ? Mon torse ? Mon ventre ? Mon… ? Je lançais nonchalamment un regard vers mon slip : bleu, de taille basse, il moulait les contours de ma verge qui était de côté. Que voyait-elle ? Je brisai le silence en lui demandant sa crème à bronzer. — Tu veux que je t’en mette sur le dos ?— Volontiers, lui répondis-je. Elle me passe de la crème dans le dos, en ...
    ... prenant le soin de bien l’étaler du haut des épaules jusque dans le creux des reins. C’est agréable. Je ferme les yeux de plaisir, me laissant aller à ses mains expertes. Puis naturellement, comme ça, sans crier gare, je sens ces mêmes mains sur mon torse ! Je ne dis rien, c’est génial. Toujours les yeux fermés, je suis le parcours des mains de Lise, qui s’attardent assez longuement sur les pectoraux, qui en suivent les dessins, les contours, puis descendent naturellement vers le ventre, sensuellement même. Brusquement, Lise me demande : — Tu crois que tu as bronzé depuis tout à l’heure ?— Je n’en sais rien, sûrement ! Avant même que je n’aie le temps de réagir franchement, elle rétorque : — Pas difficile de le savoir ! Elle dirige la main vers mon slip et le baisse dans la foulée de plusieurs centimètres, dévoilant ainsi une partie de mon pubis. Effaré, je regarde autour de moi, puis jette un œil sur ma partie d’intimité dévoilée : peau blanche sous les poils bruns… Je n’ose rien dire. — Houai, en effet, dis donc ! s’exclame-t-elle, les yeux rivés dessus. Moi, j’essaie de rester le plus naturel possible et ris niaisement. Je suis à la fois saisi et heureux. Puis, tout aussi brusquement, elle relâche le pan du maillot, qui claque sèchement sur le ventre. Je suis bouleversé ! Mon sang ne fait qu’un tour et je reste, les yeux dans le vague, à accuser le coup. Je passe le reste de la journée l’esprit embrumé. Le véritable déclic va se produire le soir-même, chez moi. Sur mon lit, en ...