1. Après-midis ensoleillées


    Datte: 09/04/2018, Catégories: fh, fplusag, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio,

    Difficile de raconter une après-midi en particulier… il y en a eu tellement. Danièle terminait le plus souvent à 16 heures. Et moi, je n’ai jamais réellement eu d’horaires. Nous profitions donc de la pause déjeuner pour nous mettre d’accord, entre quelques séances de baisers… Une pause déjeuner qui, pour nous était d’abord l’occasion de se retrouver seuls dans l’agence. Une fois la porte fermée, les bureaux se transformaient en un doux royaume faits de plaisirs charnel et de sentiments amoureux. Danièle s’arrangeait pour terminer aux alentours de 16 heures. Du coup, je quittais le bureau vers 15 heures ou 15h30, histoire de ne pas éveiller les soupçons. Niveau horaires, j’ai toujours fait ce que j’ai voulu… mais dans la mesure où je ne prenais pas de pause-déjeuners, cela ne semblait anormal à personne que je m’échappe en début d’après-midi. Enfin, je l’ai toujours cru. Le plus cruel était sans doute l’attente. Je n’habitais qu’à 5 minutes de l’agence. Et je devais donc tuer une bonne trentaine de minutes avant l’arrivée de ma maîtresse. J’occupais le temps en regardant la télé, si possible un programme susceptible de mettre mes sens en éveil (même en milieu d’après-midi, le satellite propose toujours un programme adéquat !). Et il n’était pas rare que Danièle me trouve déjà dévêtu en arrivant…. Je conservais toujours un caleçon (boxer moulant) histoire d’apporter une touche d’érotisme à nos retrouvailles. Ces sourires signifiaient qu’elle aimait ça. Et chaque partie de mon ...
    ... corps lui signifiait la même chose… Nous nous étions vu quelques minutes plus tôt à l’agence. Nous ne perdions donc jamais une minute en bavardage inutile, sachant pertinemment que le feu qui nous animait ne s’éteindrait que dans un bain de sexe. Je lui ouvrais la porte et, en guise de bienvenue, l’embrassait le plus langoureusement possible. Nos langues se connaissaient par cœur. Et, déjà, nos mains s’emparaient du corps de l’autre. De longs baisers aux effets immédiats. Car tandis que je la caressais de toute part (peloter serait certainement plus approprié tant j’étais excité) elle se frottait à moi, tâchant de sentir mon sexe à travers l’étoffe de ses vêtements. Et de ce point de vue là, j’avoue avoir eu la chance d’assister à de véritables défilés. Danièle a toujours su assortir ses tenues pour obtenir les effets les plus évocateurs. Même si pour moi, et uniquement pour moi, « évocateur » signifiait « provocateur » ! Elle n’a pas mis longtemps a comprendre ce qui, chez moi, provoquait les effets les plus radicaux : un mélange de classe, de féminité et d’esthétisme. Et un rien d’érotisme… De temps à autre, une transparence suggérée, un genou pas assez dissimulé ou un corsage momentanément dégrafé. De quoi m’exciter au plus haut point sans passer pour une allumeuse. Mes mains ont sans doute parcouru chaque recoin de son corps. Je la pelotais, la caressais, remontais ses jupe et ses robes, infiltrait mes mains à l’intérieur de ses pantalons, partait à la recherche de ses ...
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