1. Après-midis ensoleillées


    Datte: 09/04/2018, Catégories: fh, fplusag, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio,

    ... J’attendais ce « Tu vas me rendre folle ! », signe que nous avions tous deux atteint le paroxysme du désir. À ce moment-là, soit je la pénétrais d’un seul coup, le plus profondément possible ; soit, au contraire, je prenais tout mon temps. Tout le monde sait qu’il n’y a d’autre règle que l’improvisation au gré des sensations et au rythme des « c’est trop bon ! ». J’aimais la pénétrer, sentir cette chaleur envelopper ma bite tout en entendant ses râles de plaisir. Là encore le plaisir charnel est-il plus ou moins fort que le plaisir purement sensuel provoqué par ses gémissements ? C’est tellement bon de sentir ce plaisir que l’on donne à chaque coup de boutoir. Aimer et être aimé. Jouir et faire jouir. Danièle fait partie de ces femmes qui peuvent jouir plusieurs fois de suite. Et compte tenu de notre différence d’âge, je profitais de ma jeunesse pour prolonger nos ébats le plus longtemps possible. Et je mettais un point d’honneur à ne pas jouir avant son troisième ou quatrième orgasme. Du ...
    ... coup, je la laissais parfois reprendre son souffle en lui proposant quelques baisers avant de lui offrir mon sexe, tendu à quelques centimètres de ses lèvres. « J’ai envie que tu me suces… et j’ai envie que tu me dise que tu aimes me sucer… » Des mots que j’ai prononcé des dizaines de fois. Elle répondait à mes désirs en prononçant ses paroles qui, dans sa bouche, revêtait subitement une incommensurable valeur érotique. Certainement autant que ma bite dans sa bouche. Le plaisir de prolonger le plaisir. Nos ébats ressemblaient parfois à de véritables séances de sport dont je ressortais en nage. Danièle, terrassée par ses orgasmes, était certes moins active que moi. Mais chacun de ses souffles, de ses mots ou de ses gémissements ressemblaient à une incitation à aller encore plus loin. Et ses « Tu vas me tuer… » sonnaient comme des « prends moi toujours et encore ». Du coup, je me tuais à la tâche. Et c’est elle qui, indirectement, me faisait mourir de plaisir. Farmos de Dirsan (dedirsan@yahoo.fr) 
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