De trois à quatre
Datte: 09/04/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... retardant leur copulation malgré leur impérieux désir de se mélanger comme pour savourer par avance le moment inéluctable. Le visage enfoui entre les cuisses de Sandrine, Barnabé se gavait de sa vulve avec voracité pendant que la blonde pompait le pénis survitaminé de Reynald. Tout en se caressant, Amandine enroulait de ses lèvres charnues le gland proéminent du métis, couché légèrement sur le flanc. Les préliminaires, où les deux femmes échangèrent un moment leur position, durèrent encore un long moment, encouragés par Amandine : - Continuons, on a tout le temps, on est là pour baiser et on va baiser, bien baiser, croyez-moi. Néanmoins, une certaine fébrilité gagnait le quatuor, qui lorgnait de plus en plus vers la boite de capotes et le tube de vaseline posés par l'hôtesse sur la table de nuit. Les succions se faisaient de plus en plus nerveuses et bruyantes, les corps de plus en plus mouvants. Ce fut Sandrine, la timide Sandrine, qui craqua la première : - J'en peux plus, les garçons. Baisez-moi. Ils n'attendaient que ce signal. Ils se ruèrent sur la boite de capotes et se coiffèrent tandis que les deux femmes, cuisses ouvertes et coudes posés sur le matelas, les attendaient, les espéraient, positionnées côte à côte en travers du lit. La chair abondante d'Amandine reçut le corps sec et tendu de Reynald tandis que Sandrine enroulait ses longues jambes autour du dos musclé de Barnabé. Les cris de plaisir des deux femmes se mélangèrent au moment de la pénétration conjointe ...
... et le lit fut alors agité d'une forte houle, les coups de boutoir des deux mâles se conjuguant avec les roulements de hanches des deux femmes. Un clapotis de sexes en fusion envahit la pièce en même temps qu'une forte odeur sui generis. Le regard de Reynald croisa celui de Sandrine, où il lut plein d'étoiles. Elle souriait, gloussait, jappait, couinait. Elle jouissait. Il lut aussi dans ce regard une forme de reconnaissance pour lui avoir permis d'assouvir son fantasme sans déroger à un certain quant à soi. Ce regard l'excita encore plus et il se mit à mitrailler Amandine de coups de bite, regardant tout à tour les gros seins de sa partenaire agités d'un mouvement de houle jubilatoire et les mains de Sandrine pétrissant les fesses musclées de Barnabé, comme pour l'enfoncer encore plus profondément en elle. Reynald avait toujours été très maître de son sperme, mais quand il vit Sandrine mettre ses talons sur la nuque de Barnabé avec toute la souplesse de ses longues jambes, il faillit éjaculer tant cette figure l'avait excité et se retira précipitamment en comprimant sa verge de sa main, laissant tout de même perler une petite goutte de jus. Ouf ! Il était temps. Pas question de gicler trop tôt, il avait encore beaucoup à donner, en particulier dans le cul charnu d'Amandine dont il avait fait son objectif principal. ****** Quand Reynald se retira, Amandine eut un peu de mal à reprendre ses esprits. La mitraillade dont elle avait été l'objet l'avait menée à un orgasme fulgurant ...