De trois à quatre
Datte: 09/04/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... favorisé par le contexte puissamment érotique régnant dans la chambre. Elle constata que Reynald bandait toujours, ce qui la rassura. Elle constata aussi que Sandrine, pliée en deux par Barnabé, faisait preuve d'une souplesse dont elle elle-même était bien incapable. "On ne se ressemble vraiment pas", constata-t-elle. Mais c'est précisément cette dissemblance qui excitait Reynald. Les formes pleines et la chair juteuse d'Amandine procurait une variante qui justifiait pleinement ce plan à quatre. Son excitation venait aussi du comportement de son épouse, qui se livrait sans retenue et exprimait crument son plaisir sans se préoccuper des convenances. "Elle se libère", pensa-t-il. Amandine n'était pas la moins étonnée par la vulgarité de certains mots proférés par sa collègue si BCBG dans la vie courante. Elle décida de prendre les choses en mains afin de voir jusqu'où elle pouvait aller. Profitant d'un changement de position du couple voisin, elle intervint : - Sandrine, ne néglige pas trop ton mari. Il va te prendre aussi, mais avec Barnabé. La grande blonde mit quelques secondes à réaliser, encore sous le coup de son premier orgasme avec le métis. - Tu veux dire que... ils vont me prendre en même temps ? - Ben oui. Laisse-toi faire, tu vas voir, c'est génial. Elle imposa à Barnabé de s'allonger, queue dressée vers le plafond et invita Sandrine à venir s'empaler sur lui. Puis elle demanda à Reynald de se positionner derrière sa femme et lui tendit le tube de vaseline pour ...
... qu'il imprègne son anus. - Tu peux retirer ta capote si tu préfères. Reynald s'exécuta. Comme tout homme, il préférait baiser sans latex, a fortiori sa propre épouse. Quand elle sentit le gland s'insinuer entre ses fesses, Sandrine se cambra instinctivement tout en se penchant en avant, le pénis de Barnabé déjà bien enfoncé en elle. Reynald s'introduisit lentement, par petits coups, afin de franchir la barrière des sphincters. Puis le rectum de Sandrine s'ouvrit et il s'engagea franchement. La blonde poussa un petit cri. La sensation de ces deux bites enfoncées en elle, si proches l'une de l'autre, lui procura une sensation inédite et elle commença à onduler de la croupe. Les deux hommes, d'un commun accord, la laissèrent agir, encouragés dans ce sens par Amandine : - Ne bougez pas, laissez-la venir, c'est elle qui mène la danse. Puis une fois qu'elle eut trouvé son rythme, Reynald synchronisa ses poussées avec les ondulations de son épouse. Il sentait la main d'Amandine caresser ses couilles et celles de Barnabé, ce qui eut pour effet de mettre le métis en mouvement à son tour. Le trio fut alors agité d'un mouvement saccadé, un peu désordonné mais très jouissif, en particulier pour Sandrine qui recommença à vocaliser. Reynald fut stupéfait de l'entendre exprimer quelques sommations du genre "encule-moi à fond", qui le confirmèrent dans l'idée qu'elle prenait un pied gigantesque. Une certaine harmonie se manifesta dans le trio, encouragé par Amandine de la voix et du geste. La ...