Confession de ma meilleure Amie
Datte: 09/04/2018,
Catégories:
Anal
Première fois
Inceste / Tabou
Noël est terminé, le climat est propice à la mélancolie et à se replonger dans des souvenirs délicieux. La pluie fine tombe, la cheminée est allumée, chacun vaque à ses occupations, moi je flâne dans le canapé avec le PC sur les genoux. J’ouvre une page vierge et mon esprit guide mes doigts.Nous sommes en Octobre 2014, en milieu de semaine ; je dois me rendre à Toul pour passer quelques examens de routine suite à une opération bénigne. C’est une amie à moi qui m’emmène et nous avons décidé ensuite de faire un peu de shopping dans le centre-ville. Sab est une de mes meilleures amies, j’en ai très peu et je ne suis pas ces femmes entourées de cent pintades, je suis assez casanière et m’épanche peu. Les choux gras et gossip ne sont pas ma tasse de thé. Avec Sabrina, c’est différent, elle est discrète comme moi, sérieuse, mère de deux jeunes enfants, mariée avec un homme sympathique, pas moche dirais-je, le couple que nous pourrions qualifier de modèle. Ils bossent tous les deux, des vacances en hiver et en été, quelquefois nous allons dîner chez eux, amateurs de bonnes choses. Sabrina est de celles qui aiment papoter, et j’apprécie ceci, autour d’un café, toutes les deux.Nous nous retrouvons au village, je gare ma petite 106 dans leur allée de garage, je sonne, c’est leur fille qui ouvre. Maman arrive, rentre.Je rentre, une odeur de parfum léger flotte dans la maison, le petit est à la crèche et la grande en pause.J’entends crier :- Rentre assois toi, je ne suis pas tout à fait ...
... prête. Je dépose la petite chez mes parents et nous partons.J’ai rendez-vous à 15h00, nous sommes dans les temps. Elle sort de la salle de bain, jean, chemisier, parfumée, maquillage léger, ma Sab qui sort quoi. Tour de la maison vite fait, on monte en voiture, on dépose la petite et nous voici parties. Nous nous garons sur le parking à 14h45, je vais à mon rendez-vous, puis à 16h00 je ressorts. Sab m’attendait à l’accueil.- Hop on est parti.- Cool, café ?- Bien sûr. Place Ronde ?- Obligées.Et nous marchons, flânons devant les vitrines, arrivons au café. Un double expresso et un capuccino. Nous discutons de tout et de rien. Puis je lui demande si elle connaît un certain type du village d’à côté, assez sportif, grand, bla bla bla bla.- Oui, il est originaire de tel endroit ; un sacré gaillard, il fait du 4x4, il ne sourit pas beaucoup.- Oui, c’est ça.- Pourquoi ?- Oh comme ça, il est intriguant.- Oui, un peu plus même. Il parle peu, je ne sais pas s’il a une copine et il est souvent parti.- Je ne sais pas. Je rougis à cette phrase.Sab me regarde et elle sourit.- Yann le connaît ?- Non. Toujours rouge pivoine.- Et toi ?- Euh oui…- Ah bon, raconte… Peu le connaisse, et j’ai vu la Ludivine la semaine dernière qui l’a croisé dans les bois en train de courir, il ne l’a même pas salué, il ferait presque peur.- Ah oui, pourtant il ne fait pas peur.- Tiens donc, et bien je t’écoute cocotte, tu en sais plus que je ne pense.- En fait, je le connais bien. Et là, je commence mon histoire ...