Confession de ma meilleure Amie
Datte: 09/04/2018,
Catégories:
Anal
Première fois
Inceste / Tabou
... pour que tu te rendes compte.Mon stratagème marche, je veux qu’elle se sente observée, dévorée du regard. Malgré qu’il n’y ait personne. La vendeuse approche et ajuste la robe.- C’est parfait Madame, mais voyez, il faut quelque chose en dessous.- Oui, rougit-elle.- Remets tes talons et marche un peu, lui dis-je.Elle me foudroie du regard. Mais s’exécute. Elle est belle. Elle s’assied dans la cabine, ne tire pas le rideau et enfile ses talons habituels. La robe laisse entrevoir de grosses lèvres charnues, avec peu de poils. Elle ne prête pas attention à cette scène et sort. Elle déambule dans le magasin. Salue la vieille et son mari. En revanche, lui a vu. Et il n’en perd pas une miette. Sab est magnifique.Tout ceci ne dure que quelques minutes, mais la tension entre nous deux est à son comble. Je suis moite, je voudrais connaître ce que ressent ma copine. Elle rentre dans la cabine, le frottement des vêtements, j’essaie de voir un entrebâillement du rideau, mais rien. Un bruit de cintre, il reste la jupe crayon et le chemisier blanc. 2 minutes. Elle ressort, le chemisier est transparent, ses tétons dardent et on devine des aréoles roses foncées, des seins fiers, elle est rouge, mais pas déstabilisée.- Ouah, Madame la Directrice !- Tu rigoles, c’est kitch et vieille France.- Mais non, regarde-toi.Son cul est mis en valeur, ses mollets, sa poitrine, bref, elle brille de mille feux.- Madame, cela vous va bien.- Et bien je prends les deux.Elle retourne dans la cabine, et là, ...
... je vois tout, sa peau laiteuse, blanche, ses seins lourds mais qui ne pendent pas, sa petite toison de poils fins, son ventre flasque, elle se regarde dans la glace et se redresse, elle se contemple. Soupèse ses seins, flatte son cul. L’œil pétillant. Et elle me voit, elle rougit et tire sur le rideau énergiquement.- Ça va dit-elle derrière son rideau.- Très bien et toi ?- Moui… Il fait chaud ici.- Il n’y a pas qu’ici me répond mon esprit…Elle ressort, rhabillée, avec les vêtements sur son avant-bras, souriante, empourprée.- Combien vous dois-je ?- 135€ s’il vous plaît Madame. Vous avez notre carte de fidélité ?- Oui, je crois, attendez je cherche.Elle cherche dans son sac, et je note la présence d’une culotte, mise en boule dans un coin avec un soutien-gorge. Je n’en crois pas mes yeux mais je ne relève pas, j’attends. Elle paie, prend son sac et nous sortons.- Tu es une perverse, me dit-elle gratuitement.- Oui, je sais. Mais tu me connais.- Oui, malheureusement, rigole-t-elle.Je rigole.- Mais toi aussi.Elle me regarde interloquée.- Où est ton soutif et ta culotte ?Elle rougit.- Sur moi pardi.- Montre ? Au moins ton lance pierre.- Non, pas là comme ça, il y a du monde.- Nan, mais juste la bretelle que je voie.- Merde tu me fais chier, je ne l’ai pas remis.- Ah bon, pourquoi ?- Rien. On rentre.- OK.Je ne sais si je l’ai vexée, brusquée ou encore énervée, mais elle ne dit rien jusqu’à l’auto. La marche est rapide. Nous nous engouffrons dans la voiture. Et elle me regarde, le ...