L'offrande festive
Datte: 09/04/2018,
... de plaisir, de jouissance que Bérénice vient de lâcher. Peut-on jouir sous une longue fessée ? Pour de vrai ? J’avais bien lu ce genre de chose, mais entre le lire et le vivre, il y a une énorme marge ! Alors, intimement heureux de la tournure des événements, je continue mon ballet. Mes mains sont comme absentes, insensibles à la douleur ; chaque coup qui fait trembler cette chair rougie me procure un plaisir diffus… Brusquement, quelque chose me dépasse, m’envahit. Je suis comme transporté, flottant, heureux. Mes mains brûlantes dansent toutes seules sur les fesses écarlates. C’est dans une sorte de coton que j’entends une jouissance féminine éclater… —oOo— Nous sommes autour de la table de salon, verre en main. Nous, les hommes, sommes assis, mais Bérénice reste debout, ses fesses impudiquement à l’air depuis qu’elle a ôté sa jupe, certainement juste après la fessée et sa jouissance… — Retourne-toi, s’il te plaît, lance son mari. Elle s’exécute, et je peux contempler notre œuvre commune : un popotin écarlate, sur lequel je distingue parfois la trace des doigts et de mains ! Mes doigts, mes mains… Beau spectacle pour celui qui sait y goûter… — Approche-toi ! lui ordonne Assurbanipal. Docile, elle s’exécute. Quand elle passe près de lui, il lui capture les jambes afin de l’immobiliser puis, la faisant pivoter sur elle-même sans effort, il dépose deux gros baisers sonores sur ses fesses écarlates. Elle se trémousse doucement, impudiquement, tandis qu’il lui caresse ...
... amoureusement le séant. Je me lève, je me sens de trop : — Il n’est de bonne compagnie qui ne se quitte… Bonne soirée à vous deux, et surtout merci !— Pas de quoi, Aqui ! Bérénice s’adresse à moi : — Nous sommes ici pendant une bonne semaine. C’est quand vous voulez pour une seconde séance… ou plus…— Je vous remercie, ce fut un réel plaisir ! Je ne sais plus très bien ce que nous avons pu dire. Des politesses, le fait que je revienne dans la semaine. Puis nous nous sommes quittés. Dehors, je me suis senti à la fois heureux et vidé. Heureux d’avoir enfin accompli mon fantasme, celui de fesser le cul tout doux d’une femme, et vidé, comme s’il me manquait quelque chose à présent. Je me suis même demandé fugacement si je n’avais pas fait une bêtise en réalisant mon si vieux fantasme. Puis je me suis dit que non, j’en étais très heureux, tout s’est bien passé. Par contre, j’ai envie de recommencer bientôt, et je me demande déjà comment je vais faire par la suite, car Bérénice repartira bientôt trop loin. Car maintenant que j’y ai goûté, je ne m’imagine pas attendre encore des années pour la prochaine fessée ! Sans but précis, je marche un peu dans la ville. Arrivé à un petit parc, je m’assois sur un banc. Contemplatif, je regarde la paume encore rouge de mes mains. Tout à l’heure, elles fessaient de bien belles fesses offertes ! Puis je les pose sur mes genoux. C’est alors que revient le souvenir de la chaleur et de la douceur du corps de Bérénice… Devant moi, absorbées, diverses femmes ...