Toi et moi...
Datte: 15/07/2017,
Catégories:
fh,
caférestau,
intermast,
Oral
confession,
lieuxpubl,
On s’était rencontré simplement, sur un site libertin. J’aimais fréquenter le « chat » de ce site. Même si les rencontres n’étaient plus que de lointains souvenirs pour moi, j’aimais discuter, échanger et plaisanter avec les gens présents. Et un jour, nous nous sommes retrouvés à plaisanter ensemble avec d’autres personnes sur ce chat, avant de passer en privé pour une conversation agréable et sensée. Cela s’est reproduit à plusieurs reprises et nos conversations sont devenues plus intimes. Nous avons fini par converser chaque jour et, de plus en plus, dans la journée, je me prenais à penser au moment qui allait arriver. Quelque chose m’attirait en toi et nos conversations étaient de plus en plus osées, et me faisaient de plus en plus d’effet. Te lire m’excitait au plus haut point. Très vite, et avant même que nous nous soyons vus, tu savais ce que j’aimais et en jouais dans les conversations suivantes. Tu as même réussi, rien qu’en me le demandant, à me faire enlever mes sous-vêtements au travail. Cela a été très excitant et grisant, à tel point que, de quelques « coups » de doigts bien placés, je me suis fait jouir pour diminuer la tension sexuelle présente en moi. Mais cela n’a pas suffi et j’ai dû recommencer rapidement. Enfin vint le jour où tu proposas que l’on se rencontre. Tu souhaitais passer la soirée dans mon coin, je t’ai naturellement proposé de venir visiter mon modeste deux pièces. Tu as refusé, prétextant que cela ne se faisait pas, que ce serait me donner ...
... l’impression de ne venir que pour me baiser, et que ce n’était pas le but ! Le ton était froid, je n’ai pas insisté. Un peu perplexe, je t’ai proposé un bar lounge à une vingtaine de kilomètres de chez moi ; un endroit tranquille, composé de plusieurs pièces (une ancienne maison de maître), dont les décors un peu psychédéliques contrastaient avec des canapés très profonds dans lesquels on s’enfonçait immanquablement quand on voulait s’y installer. Enfin, le jour J arriva, je m’étais torturée longuement pour la tenue, tout en te maudissant. Et oui, si tu étais venu chez moi, je t’aurais accueillie nue et n’aurais pas dû cogiter à une tenue décente, mais sexy, qui te donne envie de revenir… J’ai finalement opté pour une jupe grise évasée qui tombe sous les genoux, un polo blanc qui laisse voir la naissance de mes seins, bien serrés dans un soutien-gorge pigeonnant noir, et des sandales ouvertes à petits talons. Un collier tombant dans le décolleté complétait le tout. Doucement, en me regardant une dernière fois dans le miroir avant de partir à ta rencontre, je me caressais les seins par-dessus mes vêtements. Ils étaient déjà très excités, même si, visiblement, selon le ton de notre dernière conversation, ce serait une rencontre sage. J’arrivai quelques minutes à l’avance, me garai et scrutai les voitures aux alentours afin de voir si tu étais là. Mon regard croisa alors celui, très profond, d’un inconnu, qui semblait attendre quelqu’un à la porte de l’établissement. Je n’ai pas eu ...