Toi et moi...
Datte: 15/07/2017,
Catégories:
fh,
caférestau,
intermast,
Oral
confession,
lieuxpubl,
... gémissement étouffé m’échappa. Tu redoublas d’ardeur et te penchas pour m’embrasser entre les seins. Je me mordis les lèvres pour ne pas gémir plus fort et attirer l’attention. Les yeux fermés, totalement affalée, la poitrine encore couverte mais déjà offerte, je tâtonnai pour te toucher, te sentir sous mes doigts. Je frôlai alors doucement ton entrejambe, où la bosse sentie plus tôt par inadvertance était toujours bien présente. Tu continuas de me caresser les seins tout en relevant mon polo, et découvris ma poitrine que tu attaquas directement avec la bouche. Le doute n’était plus permis sur ce que nous étions en train de faire et, de loin, je voyais les œillades appuyées et peu discrètes du couple qui ne pouvait pas voir grand-chose mais devinait ce qu’il se passait. Tu m’embrassais la poitrine, suçais les tétons, les léchais, les aspirais et je n’en pouvais plus de ce traitement. Des papillons me chatouillaient le ventre et je sentais que j’étais trempée. Ma main ne restait pas inactive sur ton pantalon. Je caressais ton sexe, l’effleurais, en prenant bien tous les contours. Je salivais à l’idée de pouvoir bientôt le prendre réellement en main, le sentir frémir sous mes doigts. Je m’attaquai à ta braguette dont je vins à bout rapidement et me heurtai directement à mon nouvel ami. Quelle surprise ! Nous avions eu la même idée, ne pas mettre de sous-vêtements. Je pris ton sexe dans ma main et fis un premier mouvement de bas en haut, afin de pouvoir en prendre totalement ...
... possession. De ton côté, toujours la bouche et la main occupées sur mes seins, tu redoublais d’ardeur pour me faire gémir, et tu n’étais pas loin de me faire crier tant j’aimais cela. Ma main continuait ses va-et-vient sur ton sexe qui tressautait à chaque remontée vers le gland. Je descendis soupeser tes testicules et vis le rictus d’envie que cela te procura. Je jouais avec eux, les tâtais, les faisais rouler dans mes doigts, et tu semblais apprécier ce traitement. J’allais même jusqu’à aller gratter délicatement de mon ongle la petite surface plane entre les bourses et l’anus. Cela te fit te contracter et tu voulus reprendre le contrôle des opérations. D’un mouvement, tu retiras ma main et me pris le poignet. Je me retrouvai à moitié couchée sur ce canapé, toi penché sur moi, le couple nous regardant maintenant franchement. C’est alors que tu approchas ta bouche de mes lèvres et nous partîmes dans un baiser doux et fort à la fois, plein d’envie. Entre le ballet de nos langues légères et les mordillements de nos lèvres, nos corps s’échauffaient et l’envie se faisait de plus en plus pressante. Tu stoppas pourtant cet élan et naturellement, alors que ton mât était toujours dressé et ma poitrine dénudée, tu me proposas le cocktail délaissé depuis plusieurs dizaines de minutes. Sans me laisser le temps de reprendre mes esprits, après juste une gorgée, tu le reposas sur la table basse et passas une main sous ma jupe. Tu as eu l’air surpris de ne trouver aucun barrage à l’expédition ...