1. Retour au sexe (1)


    Datte: 11/04/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... pinçait les tétons et les suçait. Elle était comblée et cria lorsque son mari se vida à longs traits dans sa bouche. J’assistais à cette scène toujours assise par terre, et de ma chatte bien ouverte coulait mon jus. Émilie rampa vers moi et se jeta avec avidité sur mon sexe dégoulinant ; je jouis de sentir ses lèvres douces me téter et sucer mon clitoris. Sa langue était experte, et je mouillai de nouveau en regardant sa tête entre mes cuisses, les fesses en l’air, esclave offerte à tous. Florian la poussa sur le côté, et ses deux compères se positionnèrent de part et d’autre de la jolie Émilie. Bien dressée, elle ouvrit la bouche, fit saillir son cul et écarta d’elle-même les globes de ses fesses pour présenter son anus. Les deux mandrins remplirent aussitôt ces deux orifices offerts de bon cœur. Olivier la sodomisait avec facilité et la pilonnait si fort que sa bouche engloutissait sans peine la queue de Pierre au rythme des poussées puissantes. Sa queue coulissait entre les globes blancs d’Émilie et s’enfonçait jusqu’à la garde ; son pubis frappait les fesses distendues et il grognait à chaque coup. Ils échangèrent leur place et j’aperçus l’anus écarlate et palpitant juste avant que Pierre ne s’y engouffre. Après un moment à bouger dans ce fourreau bien ouvert, il jouit bruyamment, Olivier sortit son membre de la bouche baveuse et éjacula sur les seins de la jeune femme. psapqqwz Ce spectacle excita Florian ; sa bite se dressa comme au garde-à-vous. Elle était bien ...
    ... raide, gonflée, et son gland luisant était si appétissant que je voulus lécher cette colonne de chair tendue. Il me laissa sucer son gland, me mit à quatre pattes, puis il plongea brutalement en moi sa bite, et la douleur se mêla au plaisir. Il me pilonnait, et sa queue dure et épaisse me défonçait. Je pensai qu’il allait me transpercer le ventre tant il allait profond. — Je vais te défoncer ; tu auras mal pendant huit jours, et tu te rappelleras que ma bite t’a bien bourrée. La prochaine fois, je te prends le cul et tu vas adorer ; tu vas vouloir leurs queues aussi dans ton petit trou fermé. Quand ton cul sera habitué, on te prendra en double et tu suceras le troisième. Tu vas devenir notre vide-couilles préféré avec Émilie. Ces mots crus me firent autant jouir que sa bite violente. Lorsqu’il eut déchargé en moi à grands jets chauds, il demanda à Émilie de me lécher pour me nettoyer. Elle s’appliqua à récurer avec sa langue la jute de son beau-frère. Le sperme coulait au coin de sa bouche, et elle m’embrassa avec fièvre ; elle avait la bouche pleine, et nos salives se mélangèrent au jus de Florian. J’étais épuisée ; je m’endormis à même le sol, jambes écartées et sexe gonflé. Je fus tirée de ce sommeil réparateur par la queue d’Olivier qui entrait en moi sans ménagement. — Tu me faisais trop envie avec ta chatte offerte à qui la veut, bien ouverte. Tu es un bon coup : on va bien s’amuser ensemble. Il me baisa avec force, et j’avais l’impression d’être violée tant ce fut brutal. ...
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