1. Comment ma femme s'est dévergondée (1)


    Datte: 12/04/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    Nous sommes arrivés à Toulouse, nous avions 34 ans. Habitions alors un petit lotissement. Notre plus proche voisin, Daniel, fringant jeune retraité de 66 ans, a tout de suite sympathisé avec nous, nous donnant quelques coups de main de bricolage, n’étant pas très doué sur ce point. Je voyais bien qu’il matait Sandra, 1m 60, 55 kg, un bon 95b. cheveux longs, chatte de vraie blonde. Mais bon, rien de plus que quelques regards appuyés sur certains points de son anatomie généreuse, et quelques badineries. Tout se déclencha un certain après-midi où j’étais allé lui rendre visite et boire un verre. Il faisait chaud ce jour là et Daniel me proposa de profiter de la piscine. Je lui indiquai que je n’avais pas de maillot, que j’allais aller en chercher un. — Pas besoin de te déplacer ! Sommes entre hommes, on sait ce que c’est ! Un peu hésitant, je me déshabillai entièrement et nous avons donc passé une bonne heure dans la piscine nus. Effectivement, entre mecs, rien de bien insolite. C’est plus tard que j’allais comprendre toute la signification et les conséquences de cette après-midi baignade. Il se passa une dizaine de jours et j’allai rendre un outil que Daniel m’avait prêté. C’est à ce moment là qu’il m’interpella. — Tu sais, j’ai quelque chose d’important à te dire. L’autre jour, quand nous avons fait piscine, j’ai vraiment été très très étonné en te voyant à poil : tu as vraiment une petite bite !! J’étais stupéfait. Figé d’entendre mon voisin parler de mon anatomie. Il est ...
    ... vrai que je ne suis pas gâté par la nature, loin de là. Mais me le dire comme ça, franchement, ça me gêne beaucoup. — Est-ce que tu es conscient, Philippe, d’avoir une petite queue ?? Je ne savais pas quoi faire, quoi dire, devant une question aussi intime. — Tu vois, tu rougis. Tu as bien compris ma question. Je répête : as-tu conscience d’avoir une petite queue ? Tout à coup, angoissé, les larmes me montant aux yeux, je hochai la tête. — Très bien, c’est déjà ça. Ca sera moins difficile pour toi pour la suite. Je ne comprenais pas ce qu’il voulait dire. Je ne savais plus ou me mettre. — Nous allons voir ça. Lève-toi et déshabille toi. Entièrement. L’ordre me figea. Est-ce que j’avais bien compris ?? Mais Daniel me ramena vite à la réalité. — Allez, ne fais pas d’histoires. Debout et A POIL ! Je ne sais pas ce qui se produit. Je me levai mécaniquement. Comme un robot, j’enlevai ma chemise. Mon t-shirt. Mon short. — J’ai dit TOUT, tu enlèves TOUT. Les chaussures et les chaussettes aussi. J’obéis. — Allez, vire le slip. La mort dans l’âme, je fais ce qu’il me dit. Me voilà nu devant lui. — Mets tes mains derrière la nuque, c’est mieux comme ça. J’étais dans le salon de mon voisin, debout, entièrement nu, les mains derrière la nuque, lui assis dans son fauteuil. Il me fit bouger, me tourner plusieurs fois sur moi-même, marcher de long en large dans la pièce. — Tu as vraiment une petite queue ! Tu n’as rien dans le slip dis donc !! J’avais les larmes aux yeux mais parvenais à me ...
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